1. Une épouse si respectable


    Datte: 28/07/2025, Catégories: fh, ff, fhh, couplus, extracon, extraoffre, candaul, plage, boitenuit, danser, Oral préservati, pénétratio, fsodo, extraconj, Auteur: Mireille Bernard, Source: Revebebe

    ... miroir, je le vois qui baisse son pantalon après avoir pris un préservatif dans la poche, se protège et me met son long mandrin dans la chatte. J’interromps mon travail de nettoyage et je le laisse me besogner. C’est bon. Ses mains viennent ouvrir mon chemisier et malaxer mes seins. Il me répète que je suis belle et qu’il adore les femmes matures. Je ne pense pas avoir basculé dans cette catégorie, mais le rôle de cougar ne me déplaît pas. Il décharge assez vite.
    
    Je me rhabille et lui dis que finalement je boirai le thé sans lait. Il est confus et remonte son pantalon. Je le laisse et le soir je raconte cette aventure au téléphone à mon mari qui semble beaucoup apprécier.
    
    Sylvain avait beaucoup aimé cette histoire, mais il trouvait que la rapidité était frustrante. Il m’encouragea la prochaine fois à prendre mon temps, ce que je fis. Lors de l’une de ses absences de trois semaines, une idée un tant soit peu diabolique me vint à l’esprit.
    
    Me souvenant d’une aventure qui m’était arrivée une dizaine d’années auparavant, je commençais à échafauder un scénario. Je venais à l’époque de commencer à travailler et mon salaire d’enseignante était assez modeste quand je pénétrais dans la boutique d’un antiquaire. Le commerçant était un beau causeur, jeune et bien fait de sa personne. Une belle gravure ancienne me faisant envie, je tentais de marchander une réduction car le prix annoncé était nettement au-delà de mes moyens de l’époque. Jeune et inexpérimentée, je voyais qu’il ...
    ... me draguait un peu et j’espérais jouer de mes charmes pour l’attendrir. Mais finalement, il me dit que le jeudi, il était seul au magasin et que si je voulais passer un petit moment avec lui dans l’arrière-boutique, il me ferait une réduction de 50 %. Choquée par ces propos directs, je quittai le commerce. Je n’étais plus une oie blanche, mais ce marchandage cynique me déplut fortement. Au ton qu’il avait, j’ai d’ailleurs eu l’impression que je n’étais pas la première avec laquelle il tentait sa chance.
    
    Je me suis d’abord renseignée pour savoir si le magasin existait toujours et un jeudi matin je me présentai dans la boutique. L’homme était toujours là, un peu plus âgé mais très élégant, avec des tempes un peu grisonnantes. Il ne se souvenait évidemment plus de moi car en dix ans j’avais bien changé. Je n’étais plus la jeune fille « en jean et baskets », coiffée à la garçonne mais une bourgeoise en tailleur de marque et talons hauts. Oubliant les dim-up, cette fois-là je portais de vrais bas avec porte-jarretelles. J’étais décidée à prendre l’initiative et à m’amuser. Je commençais un tour de la galerie sous l’œil intéressé du vendeur. L’abondance de miroirs dans la galerie me permettait de voir où portaient ses regards. Cette fois-ci, je feignis d’être intéressée par un tableau d’un peintre inconnu pour moi mais dont il me vanta les qualités. Le prix était à la mesure de la soi-disant renommée de son auteur. Il me montra une seconde œuvre du même peintre, similaire à la ...
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