Vacances, sur le chemin du retour : Émilie et les routiers
Datte: 28/07/2025,
Catégories:
fh,
vacances,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
portrait,
Auteur: andrebernard93, Source: Revebebe
... d’échanger entre eux d’un camion à l’autre. Les particuliers avaient cédé à cette mode leur permettant d’être avertis de la présence des gendarmes par une phrase célèbre : « attention papa22 au kilomètre 25 ou 50… Quelle époque ! »
Daniel avait craqué. Notre carrosse était donc équipé de ce petit bijou de technologie. Il aimait bien caler la fréquence de l’appareil sur le canal des routiers, dont les échanges étaient souvent amusants et très colorés.
C’est dans cette ambiance que nous voyagions ce jour-là.
Je somnolais, bercée par le roulis de la voiture. Mes pieds débarrassés de leurs tongs reposaient sur le tableau de bord. Daniel roulait sur la file de gauche, empilant les dépassements de camions. La Cibi se mit à résonner dans l’habitacle.
Daniel tournait la tête vers moi avec un sourire pétillant de malice.
— T’as entendu, chérie. Tu as fait une touche. Alors comme ça, ma pucelle, tu excites Marc, le routier.
— Arrivée à sa hauteur, je vais lui montrer ce qu’elle sait faire, la pucelle. Tu resteras bien sous sa cabine, qu’il puisse jouir du spectacle, le drôle.
— Qu’est-ce que tu vas encore m’inventer, toi ?
Daniel arrivait à la hauteur de la cabine du fameux Marc quand je me saisis du micro.
Je glissai sur le côté et tout en posant ma tête sur les genoux de Dan, j’écartais largement mes cuisses en relevant ma jupe jusqu’à la ceinture.
Je regardai avec délice ses yeux excités, j’en profitai pour écarter les lèvres de ma chatte et caresser mon ...
... clito.
Me tournant sur le côté, je m’attaquai à déboutonner le pantacourt de Daniel puis je baissai son slip. Inutile de vous dire qu’il était en pleine forme. Sa verge se dressait et ses jolies bourses lisses étaient gonflées de plaisirs.
Je caressais du micro l’entrejambe de mon Dan, consciente que tous les routiers sur la même longueur d’onde participaient à nos ébats.
Je ponctuais mes silences de longs gémissements dans le micro et forçais le rythme de ma respiration. Je découvrais lentement le gland de mon chéri. Je suçotais son extrémité du bout de la langue.
Je crois bien que ce jour-là, j’ai sucé mon homme comme jamais. Daniel s’est alors répandu dans ma bouche en plusieurs giclées puissantes. Je conservais les dernières gouttes de sa liqueur sur ma langue que je tirai en direction du chaud routier.
C’est un flot d’éclats de rire qui résonnaient à ce moment dans l’habitacle de notre 4L. Des rires de routiers, mais également ceux de femmes, branchées sur la même fréquence. Les commentaires allaient bon train : « le pauvre biquet, il a taché son slip » ; « Depuis le temps que je vous dis d’être discret les gars » ; « Ben mon vieux, elle est gonflée la gamine » ; « et son homme, il n’a rien dit ? ».
Nous n’avons pas la prétention ce jour-là d’avoir réalisé la première émission de radio érotique. En tout cas, nous avions bien profité de cet instant. Je me souviens encore que, pendant le reste du voyage, nous cherchions un titre pour notre séquence radio : ...