1. Vacances, sur le chemin du retour : Émilie et les routiers


    Datte: 28/07/2025, Catégories: fh, vacances, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral portrait, Auteur: andrebernard93, Source: Revebebe

    Nos vacances étaient terminées, Émilie et moi avions quitté les côtes espagnoles la tête pleine de nos chaudes expériences. Nos finances étaient au plus bas. Nous roulions cheveux au vent dans notre 4L avec pour nos nuits notre fidèle tente canadienne qui ne quittait jamais le coffre. Les soirées fraîches nous poussaient à nous blottir dans nos duvets réunis. Et nous ne passions jamais une nuit sans nous éclater sexuellement.
    
    Les visages et les corps de Fabio, Françoise, Juan, Diego et Miguel venaient délicatement pimenter nos ébats. Souvent après l’amour, nous évoquions ces moments que certains nomment candaulismes. Les qualifiant pour notre part de « nos petits secrets de plaisirs intimes et partagés ».
    
    Bien sûr, aujourd’hui, en décidant de publier nos souvenirs, certains diront que nous sommes en plus exhibitionnistes. Sans soucis, nous l’assumons et notre retour de vacances atteste que nous l’étions déjà, en 1975.
    
    Aujourd’hui, Émilie et moi, nous prenons plaisir à partager avec vous, chers lecteurs, nos aventures érotiques et sexuelles de notre folle jeunesse. Nous sommes également dans un état d’excitation en consultant vos commentaires. Ils sont pour nous un élixir de jouvence. À les lire, nous rajeunissons de trente ans, nous retrouvant autour d’un feu de camp avec une bande de copains débattant de sexualité. Chaque commentaire nous évoque celui d’un copain ou d’une copine de jeunesse.
    
    — Tiens, regarde Dan, celui-là ne comprend pas qu’on puisse prêter sa ...
    ... femme ! Comme Marc à l’époque.
    — Oui, c’est amusant, qui sait, sous couvert d’anonymat… C’est peut-être lui.
    — D’autant que Marc était déjà marié, ce qui ne l’empêchait pas de rêver d’une chose, me sauter.
    — Oui, c’est vrai ma chérie, je me souviens.
    
    Fou rire, petits bisous tendres et caresses ponctuent notre lecture. Et l’excitation grandit lorsque nous fantasmons sur le physique de nos commentateurs.
    
    Mais reprenons notre machine à remonter le temps pour revenir en 75.
    
    — Tiens ma chérie, c’est à ton tour de prendre la plume.
    — D’accord d’autant que ton expression « prendre la plume » est de circonstance.
    
    Nous avions quitté le camping. La journée s’annonçait particulièrement chaude. J’avais demandé à Daniel de décapoter notre 4L.
    
    Coquine, comme à mon habitude, j’avais choisi un petit haut rose bonbon, bras nus, très décolleté et porté sans soutien-gorge. Pour le bas, en couleur coordonnée, une jupe à plis s’arrêtant à mi-cuisse, m’abstenant du port d’une culotte.
    
    Le ciel était bleu et nous roulions sur des quatre voies. Pour mémoire, sans enfants, nous voyagions toujours hors vacances scolaires. L’avantage, c’est que nous n’étions pas gênés par les caravanes. Ceci étant, nous subissions des files interminables de camions, et autres semi-remorques.
    
    Nous étions dans les années « Cibi » des émetteurs-récepteurs radio émettant sur la bande CB. Presque l’ancêtre de Facebook. L’immense majorité des routiers en était équipée. Ce qui leur offrait l’opportunité ...
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