1. Annie


    Datte: 26/07/2025, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail Oral pénétratio, occasion, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... quoi, elle est dingue… Et de sautiller, et de jouer les petites filles pas sages, et de parler avec une voix suraiguë :
    
    — Dis Monsieur, t’as pas une grosse sucette pour moi ?
    
    Elle se met à genoux, déboutonne mon pantalon et se met à téter ma zigounette avec une dextérité telle que toute résistance est vaine. Je bande, elle pompe, je lui caresse la tête, les seins au travers du chemisier et sans rien d’autre en dessous.
    
    — Aïe ! Eh dis donc, fais attention avec tes dents… !
    — Oh pardon Monsieur… J’ai pas été mignonne, je mérite une bonne fessée…
    
    Elle se relève et vient se mettre en travers de mes genoux, cul dressé, jupette relevée.
    
    — Allez-y, Monsieur, donnez-moi une bonne fessée et tapez fort…
    
    Je caresse la prodigieuse rotondité qui s’offre à moi et donne quelques claques, histoire d’entrer dans son jeu.
    
    — Oh oui ! Plus fort, je le mérite…
    
    J’ai horreur de frapper les femmes. Ça m’est arrivé, je le reconnais, avec Yüko parce que je voulais la dégoûter de moi, quelques petites tapes parfois avec Mahoko, mais pour jouer, dans le feu de l’action, mais je sens bien qu’elle n’apprécie guère. Mais là, comme ça à froid, jamais. Je dois me faire violence, mais ça semble bigrement plaire à cette folasse d’Annie. Alors je continue et, comme l’appétit vient en mangeant, je commence à y prendre un certain plaisir. Je tape de plus en plus fort en la traitant de tous les noms, de petite pute ou de petite salope. Et elle en redemande, la vicieuse. Dans ce délire ...
    ... soudain, j’en viens à lui prendre sa sucette, gros boudin de sucre sur un bâtonnet de bois, à la sucer puis à lui enfoncer dans le sexe ruisselant de cyprine et à goûter ce mélange extraordinaire. J’avoue que tout cela me fait furieusement bander, surtout lorsque je lui enfonce le bâton de sucre dans le cul. Je n’ai pas d’autre alternative que de la propulser sur la table et de la fourrer comme un dément.
    
    Je rentre à la maison avec une drôle d’impression, les testicules vides, mais la tête pleine de contradictions. La paix et l’harmonie de mon foyer me rassurent et me rassérènent. Elles sont belles toutes les quatre, mes filles et mes femmes, simples et saines dans leurs sentiments et leurs comportements, malgré l’incongruité de cette situation à trois et les délires sexuels que cela engendre. Mais il n’y a aucune perversion dans les relations de ce trio.
    
    Annie ne s’est pas arrêtée là. Je ne sais pas si elle m’a cru fétichiste, mais après l’écolière, c’est la soubrette, juste un petit tablier blanc, une petite coiffe, des bas résille soutenus par un porte-jarretelles. Très mignon. Puis l’infirmière, nue sous sa blouse blanche qui veut se faire prendre la température avec mon gros thermomètre. Ben voyons. Il y a encore la nonne, à genoux en permanence dans des vapeurs d’encens. Et pour finir, elle révèle sa vraie nature qui est d’être soumise. Elle s’offre nue, colliers de cuir autour du cou, des poignets et des chevilles, me tendant une laisse et une cravache dont je ne ...