Annie
Datte: 26/07/2025,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... horrible jupe de lainage et baisse sa culotte. J’adore baisser la culotte d’une femme, cette légère difficulté à passer les hanches, puis la ceinture qui glisse aisément le long des cuisses alors que l’entre-jambes reste un instant collé sur la vulve avant de se détacher enfin. Détacher, c’est plutôt culotte tachée et un fil de cyprine qui la relie encore à ce qu’elle cachait. Ça va, elle est à point ! Sans autre forme de procès, bien qu’appréciant à leur juste valeur les bourrelets de chair tendre qui surmontent les bas, je sors mon engin et je l’embroche d’une seule puissante et longue poussée. Elle a un long soupir libérateur.
— Putain, ce que ça fait du bien ! J’ai déjà changé trois fois de culotte aujourd’hui.
— Voilà ce que je voulais te montrer, le fantasme que j’entretiens depuis des semaines… te baiser, là, dans ce bureau où je t’ai vue pour la première fois et dans ton « uniforme » de contrôleuse…
— Ah oui… je te comprends et je partage… je rêvais de ta queue jaillissant de ton pantalon pour me bourrer la chatte sauvagement… dans l’urgence de l’interdit.
Je la pilonne avec brutalité, ses talons plats décollent de la moquette à chaque coup de reins. Et puis je m’amuse avec nos désirs, sortant complètement d’elle pour mieux la pénétrer à nouveau, une fois, deux fois, dix fois. Son sexe trempé émet à chaque fois une série de pets humides, diffusant ses fragrances de femelle en chaleur et certainement des bordées de phéromones. Puis le désir contenu est trop ...
... fort, je lance la cavalerie à fond les manettes, agrippé à ses hanches. Elle râle, jappe, chevrote des gémissements de pâmoison troublés par les coups de boutoir que je lui inflige. Je n’arrête pas jusqu’à ce que le plaisir me foudroie. Mes jets de sperme me paraissent monstrueux tant le désir était monté en trente-six heures. Elle hoquette en sursautant de spasmes. Quand je me retire d’elle, c’est le déluge que je colmate tant bien que mal avec des kleenex. Je lui présente ma queue encore gonflée et dégoulinante de nos sucs, elle la gobe sans hésitation. Malgré tout, mon pantalon est cartonné, heureusement que j’ai du change dans mon petit cagibi où elle se précipite. Je me lave la queue pendant qu’elle s’égoutte sur les toilettes, étrange intimité d’after sexe.
— Tu as de quoi te changer, mais pas moi. Emmène-moi chez moi, je ne peux pas rester comme ça…
C’est coquet chez elle, un mélange habile d’ancien et de moderne. Elle me dit aimer chiner des meubles sur des brocantes, les retaper, éventuellement les repeindre. Elle nous prépare un dîner rapide, mais chaud, une blanquette sortie du congélateur, comme le pain. Et son pinard est bien meilleur que du Coca. Ainsi restaurés, nous allons dormir, j’indique à mon portable de nous réveiller à quatre heures. On s’en souviendra du contrat des impôts.
Cinq heures moins le quart, retour à Bercy. Les gens arrivent doucement avec les mêmes têtes de décavés que nous. Le café coule à flots des cafetières, des thermos et des ...