1. Une perversion en chasse une autre


    Datte: 26/07/2025, Catégories: fh, fplusag, fagée, grosseins, hgode, sm, dominatio, Auteur: Machilda May, Source: Revebebe

    N’importe lequel d’entre nous aurait pu vous dire que Jean-Louis Maubert était un petit pédé, ou plus exactement un homosexuel refoulé. Tout dans son attitude semblait le confirmer. D’abord, il vivait seul avec sa grand-mère, ne fréquentait personne et n’avait pas d’ami. Ensuite, dès qu’une fille s’approchait de lui, il faisait tout pour la refouler. Il était pourtant beau gosse mais il refusait obstinément de se faire draguer. J’en connais même une, sans doute plus tenace que les autres, qui, à force de le relancer avec obstination pour obtenir enfin un rencart, s’était presque fait agresser. Il avait refusé l’invitation, en prétextant que sa grand-mère ne voulait pas qu’il sorte avec des filles et avait menacé de porter plainte pour harcèlement si elle continuait comme ça à lui faire du rentre-dedans.
    
    Ce collègue était donc assez bizarre et faisait bande à part parmi les employés de la mairie. Il refusait d’aller aux fêtes et de participer aux manifestations, il arrivait pile à l’heure le matin, refusait tout échange autre que strictement professionnel, et repartait pile à l’heure le soir, directement chez lui, sans faire aucun détour. Par-dessus tout, il ne supportait aucune plaisanterie et était réellement d’une tristesse absolue.
    
    Un jour, une secrétaire parla de Jean-Louis à un de ses copains homosexuels. Ce dernier expliqua l’attitude de celui-ci par le fait qu’il devait mal accepter son homosexualité. Corinne organisa alors une entrevue dans un café au cours de ...
    ... laquelle son pote essaya de brancher Jean-Louis. Mais notre collègue le prit vraiment très mal. Il fit un scandale dans le troquet traitant le dragueur ouvertement de tapette, de pédale, proclamant haut et fort qu’il détestait les pédés et que l’autre était un vicieux pervers qui avait essayé de le toucher, ce qui n’était bien sûr pas vrai.
    
    ___________________
    
    Quelques mois après cet incident, notre responsable de l’entretien devant marier sa fille aînée, nous faisions une petite collecte avec Martin pour lui offrir un petit cadeau. Jean-Louis étant en RTT, nous décidâmes d’aller le solliciter chez lui. Il n’y avait aucune raison qu’il y échappe.
    
    Ce n’était pas la première fois que je mettais les pieds chez lui, mais je connaissais surtout la grand-mère qui, proche voisine de mes parents, était connue dans le quartier pour être une femme très stricte et très sévère, autoritaire en diable, avec toujours un air guindé. Jamais un sourire, on aurait dit qu’elle avait toujours un balai dans le cul. Jean-Louis avait pour instruction de l’appeler « tantine », car elle ne supportait pas qu’on fasse référence à son grand âge.
    
    On frappe à la porte, une fois, deux fois, personne ne répond. Pourtant, on entend la télé. On décide donc de faire le tour par la cour, peut-être sont-ils derrière dans la cuisine. Je suis en train de bavasser quand Martin me fait signe de me taire en portant un doigt devant sa bouche. Je m’arrête de suite, intrigué. Il regarde derrière une persienne ...
«1234»