1. Les petites stagiaires: Amandine I,4


    Datte: 24/07/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Exorium, Source: Hds

    ... t’en crèves d’envie. Ça se voit, attends ! Il arrête pas de grimper ton truc quand on est ensemble. Tout le temps. N’importe quand. N’importe où. Même au boulot. Et pourtant t’as pas essayé. C’est quoi la raison ?
    
    – Tu m’as tellement répété, sur tous les tons, qu’avec un vieillard comme moi c’était hors de question. Absolument pas envisageable.
    
    – Il y en a plein d’autres des types, c’est sûrement pas ça qui les aurait arrêtés. Ils auraient quand même tenté le coup.
    
    – Ben oui, mais…
    
    – Mais quoi ?
    
    – Tu m’aurais envoyé balader.
    
    – Ah, ça, c’est sûr.
    
    – Et le risque, c’était que tu prennes tes cliques et tes claques et que tu fiches le camp.
    
    – Ça, effectivement, c’était pas exclu. Oui. Alors en somme, si je comprends bien, t’as pas voulu courir le risque de me perdre, quoi !
    
    – Le risque de ne plus avoir ta présence vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Sept jours sur sept. De ne plus pouvoir te regarder et te désirer tout mon saoul. Voilà, oui.
    
    Elle m’a déposé un rapide baiser sur la joue.
    
    – Je t’adore, il y a des moments. Je t’adore vraiment. »
    
    Elle m’adorait peut-être, à sa façon, mais je n’étais guère plus avancé pour autant. Jessica s’était toujours montrée convaincue que je parviendrais à mes fins. Elle était même persuadée que c’était imminent. J’en doutais sérieusement. J’en doutais de plus en plus. Amandine campait sur ses positions et il me paraissait hautement improbable qu’elle puisse un jour finir par changer d’avis. Je m’efforçais ...
    ... néanmoins de garder espoir, j’évitais soigneusement tout ce qui aurait pu apparaître, à ses yeux, comme une tentative pour lui forcer la main. J’attendais, j’espérais et je la désirais. Je me contentais de la désirer. Comme un fou. Elle se prêtait complaisamment au jeu, errait longuement en sous-vêtements, d’une pièce à l’autre, dans la maison. Elle avait toute une collection de petites culottes et de soutiens-gorge, de différentes couleurs, de différentes matières, tous plus émoustillants les uns que les autres, dont elle me faisait généreusement profiter.
    
    « J’aime trop tes yeux quand je suis comme ça.
    
    Elle descendait systématiquement déjeuner dans de petites nuisettes transparentes qui ne dissimulaient strictement rien de ce qu’elles recouvraient. Bien au contraire : elles dessinaient au plus près ses adorables petites fesses, ses seins somptueux, m’offraient, par transparence, la douce résille ombrée.
    
    – Et tu bandes ! Tu bandes encore. C’est fou, ça ! Sans arrêt tu bandes, toi !
    
    Ça ne lui déplaisait manifestement pas. Elle laissait traîner les yeux sur la bosse dans mon pantalon, finissait par se lever à regret.
    
    – Bon, mais c’est pas tout ça ! Faudrait peut-être que je me bouge. Que j’aille me doucher. On va être en retard sinon.
    
    Elle laissait la porte de la salle de bains ouverte. Appelait parfois de sous la douche.
    
    – Et zut ! Il est fini le shampoing. Tu veux pas venir m’en attraper un autre, là-haut, dans le placard ? Tu seras un amour. »
    
    C’était ...