En Thérapie Ch. 03 et Fin
Datte: 23/07/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... lavage de cerveau. Je faisais absolument tout pour elle, et comme elle l'avait prédit, je la suppliais souvent de bien vouloir m'utiliser pour ses besoins, me sentant alors rempli d'elle de toutes les façons. Car je n'avais plus jamais le cul vide et elle ne voulait pas d'objets qui soient supportables, elle me voulait souffrant, gémissant, pleurnichant, quémandant. Ce qui lui permettait de se faire jouir à me regarder aussi pitoyable à lécher ses pieds ou nettoyer ses semelles. Et pourtant jamais je ne me suis senti si vivant et si libre.
Je la suppliais souvent de me battre, ce qui me permettait de lâcher la pression de mon désir sexuel, même si je le regrettais à chaque fois. Lorsqu'elle me sortait en boite sm, le silence se faisait quand elle me battait, tant tout le monde était abasourdi de sa violence et de sa perversité, à frapper les flancs, l'intérieur des cuisses, la raie des fesses et à me laisser des marques parfois indélébiles. Cela n'empêchait pas tous les hommes soumis de venir se précipiter à ses divins pieds, et elle en prenait souvent un, sachant que cela me faisait souffrir bien plus qu'un amant.
Un de ses grands plaisir était de dormir chez l'un ou chez l'autre, en nous contraignant de façon sauvage et en nous interdisant de dormir, devant la contempler toute la nuit. Se remplir d'elle, de son ventre qui la rendait encore plus femme et puissante, qui me rendait dingue d'envie inassouvie. La frustration à ce stade me faisait perdre totalement la ...
... raison. Il n'était de supplice qui me détourne de mon désir d'elle.
Rodolphe était son esclave principal, je n'étais qu'un accessoire, elle me le faisait bien sentir. Nous partîmes par exemple en week end, que je passais intégralement dans le coffre, juste alimenté de temps à autre par Nala, à devoir rester enfermée juste à attendre de la façon la plus inconfortable qu'elle ai pu imaginer pour mon supplice. Et quand je la remerciais, j'étais profondément sincère, apprenant ainsi ma vraie place.
Le clou fut son mariage avec Nala. Malgré son ventre de 6 mois, elle décida qu'elle serait l'homme, donc en smoking, et Nala en robe de mariée, et moi en jeune fille d'honneur. La robe de mariée de sa femelle, en corset sur tout le long était superbe, et le travail de maquillage et la perruque le rendait tout à fait féminin et désirable.
J'étais tout aussi corsetée, empalée comme Nala avec un plug invraisemblable que Maîtresse nous avait imposé, mais l'âge me rendait moins crédible. Je portais une robe patineuse blanche également, avec un nœud rouge, et des escarpins rouges de plus de 15 cntimètres. Nous avions du nous entraîner des semaines durant sous sa badine agile. Un ruban rouge à mon cou, blanc à celui de Nala venait souligné notre condition, sachant que nos tatouages sur les bras étaient bien visibles à tous.
Elle invita peu de monde au mariage, des connaissances à elle qui connaissaient sa folie et ses relations avec nous deux, et mon ex-femme qui vint constater ce que ...