En Thérapie Ch. 03 et Fin
Datte: 23/07/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... sur
- Et que c'est moi le père?
- Non cela c'est notre petit secret, enfin un autre petit secret. Il est persuadé être le père car il sait comment je fais attention.
- Mais comment serait-il le père?
- En rentrant ce fameux mercredi, je l'ai trait, une technique pour récupérer le sperme. Je lui ai fait croire que je me l'étais injecté, je l'ai en fait jeté. Et voilà le travail.
- Mais c'est monstrueux!
- Tu trouves? Moi je trouve cela très amusant. Tu vas être à nouveau père et grand père en même temps. Je voulais que tu le saches, je t'ai promis de te torturer chaque jour un peu plus, tu vois je tiens déjà parole.
- Mon dieu Maîtresse, je...
- Tu?
- Je vous aime tant, je ne serais jamais assez à vous. Vous pouvez faire tout ce que vous voulez.
- J'en ai bien l'intention. Allez prend le volant et met Nala dans le coffre, j'ai envie d'aller voir la mer.
+++
Les 7 mois nous séparant de l'accouchement furent les plus déments que je puisse imaginer. Maîtresse ne nous laissa aucun répit, le plus souvent séparés, mais jamais sans contrôle de sa part, dégradation et humiliation.
Il ne lui fallut que 48h pour décider que je n'étais pas assez disponible et qu'il était insupportable que son esclave prenne du temps pour aider d'autres patients. Plutôt que de me demander d'alléger ma patientèle, Katia envoya de nombreux documents à la société psychanalytique à laquelle j'appartiens et au conseil de l'ordre, à mon ex-femme aussi. D'un commun ...
... accord avec ces deux institutions je mis fin immédiatement à mon activité, ma patientèle étant reprise par mon superviseur, et je perdis tout honneur et tout contact avec mon monde d'avant. Mis au ban publiquement de la société.
J'étais dans un tel état d'excitation permanente, de sollicitation par Katia et de manque de sommeil, que j'acceptais cette humiliation professionnelle et personnelle comme une humiliation érotique, comme la révélation de ma réelle place, celle d'un déchet à écraser. Mais je réalisais aussi de façon plus objective que mon cabinet était devenu une véritable charge, une sorte d'esclavage. Car si je réservais des heures pour mes patients, je n'avais plus aucune liberté et je leur appartenais. Une liberté incroyable m'était ainsi offerte, certes sous le joug de Maîtresse, mais consacrée à l'exploration de mes sensations, émotions et moi intime. Ces chaînes me donnaient autrement plus de plaisir et de bonheur. Katia était ravie de ce qu'elle avait provoqué, d'être allée au bout de cette démarche de destruction. En fait tant qu'elle n'était pas arrêtée, elle allait le plus loin possible dans la destruction ou l'humiliation.
Je ne pensais qu'à une seule chose, jouir, bander, éjaculer. Tout ce qui ne m'était plus possible, alors je pensais à Maîtresse à chaque instant, me perdant dans la contemplation de son corps, de ses yeux, de ses mouvements, passant des heures par jour, sous ses ordres, à regarder ses photos et lire ses mots, écouter sa voix. Un total ...