0315 Pour faire un homme… (partie 2).
Datte: 22/07/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... coucher avec lui…— Tu me saoules !
— La dernière fois que j’étais là, quand tu as voulu que je te prenne…— Quoi ?
— C’est pas à lui que tu pensais quand tu m’appelais "mec" pendant que je te…— Ferme-la, va ! il me balance, en se jetant sur moi et en m’embrassant avec une fougue animale.
— Il t’excite ce mec, hein ? »Pour toute réponse, Jérém soulève mon t-shirt et s’attaque à agacer mes tétons. Sa bouche et sa langue sont animées par une ardeur très excitante.
« Et ce soir tu t’es dit qu’avec moi entre vous deux ça pourrait marcher… » je m’entends glisser, l’excitation m’apportant un niveau de désinhibition qui échappe à mon contrôle.
Mais le bobrun est déjà à genoux devant moi, il défait ma braguette et commence à me pomper avec un plaisir non dissimulé, tout en se branlant.
« Avoue que t’avais envie de me baiser pendant que je le suçais… »Jérém ne répond toujours pas. Il continue de me sucer, en redoublant même de vigueur.
Mon excitation grimpe encore, encore, encore. Sous l’effet du plaisir montant, je sens tous mes freins lâcher, mes limites se pulvériser. Et j’ose tout.
« Ou peut-être tu avais envie d’autre chose… avec ton pote "Uly"… »Jérém me pompe de plus en plus frénétiquement. Je sens que mes mots l’excitent au plus haut point. Il me pompe avec un entrain animal, comme s’il laissait s’exprimer une envie, un désir longtemps refoulé. Comme la dernière fois, mais plus encore que la dernière fois, j’ai l’impression qu’il me pompe comme s’il ...
... pompait Ulysse. Sa langue et ses lèvres s’emploient à produire des miracles de bonheur sensuel autour de mon gland. Mes inquiétudes sont anesthésiées par le plaisir qui fait vibrer mon corps tout entier.
« Montre-moi ce que t’avais envie de lui faire, à ton pote… »Des mots, je le sais pertinemment, que je vais regretter plus tard, mais que sur l’instant je ne peux pas retenir.
« Ça fait dix minutes que je te le montre… je l’entends me glisser, la voix chargée d’excitation.
— Je suis sûr que tu ne m’as pas tout montré… » je le chauffe encore.
Un instant plus tard, Jérém éteint la lumière. L’appart est alors plongé dans une pénombre tout juste modérée par quelques rayons de lumière venant de l’illumination publique filtrant à travers les stores. Une ambiance qui me rappelle celle de certaines nuits dans l’appart de la rue de la Colombette.
Le bobrun revient sur le lit. Il s’allonge sur le ventre, ses cuisses de rugbyman bien écartées. Je m’allonge sur lui, doucement, je laisse ma queue effleurer sa raie. Je suis dans un état d’excitation tel que j’ai l’impression de pouvoir jouir rien qu’en effleurant sa rondelle.
Je me glisse lentement en lui, tout en essayant de me retenir. Le bonheur de sentir ma queue enserrée dans le cul musclé de mon beau mâle brun est toujours une sensation des plus incroyables.
Je regarde ses cheveux bruns, ses épaules solides, ses biceps, ses tatouages, cette chaînette, tout ce qui fait sa virilité, cette virilité qui m’a longtemps été ...