La Pimbêche -- 03
Datte: 22/07/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica
... en voulant sauver sa fille de l'effroyable sodomie. Elle donna de grosses frappes sur les fesses de son enfant qui se mit à pleurer quand les coups se déchaînèrent. Puis Aline infligea ce supplice à sa mère quand on lui proposa la règle ou une batte de baseball pour l'enculer. Les deux femmes Houiller avaient le cul rouge à force de s'être corrigées le derrière.
Ce ne furent pas les seules marques qui couvrirent leur corps, on leur confia des feutres avec des mots à écrire l'une sur l'une. Aline écrivit "Sac à Sperme" sur le ventre de sa maman, tandis que Madame Houiller inscrivait "Petite Pute" dans le dos de sa fille. Chacun des spectateurs eut alors des idées pour décorer le corps des deux femmes. La jeune fille eut droit à : "Lécheuse de Chatte", "Avaleuse de Foutre", "Fille Indigne". La mère servit de pancarte pour : "Salope", "Garage à Bite", "Maman Cochonne", "Grosse Vache".
Puis Aline vit Yasmina embrasser Maxime. Elle en eut le souffle coupé. Ils ne se cachaient pas, et après le fougueux baiser, Yasmina se rapprocha d'Aline pour la narguer :
« Tu ne vas pas être jalouse quand même? Si tu t'étais intéressée un peu à lui, tu aurais su que c'était mon petit copain depuis des mois. Mais j'ai bien voulu lui accorder un break, pour voir si derrière tes airs de pimbêche, tu n'étais pas une salope prête à niquer pour le premier beau parleur venu. Je crois qu'on a la réponse... »
Aline comprit que Maxime s'était joué d'elle, et l'avait amenée dans cette maison ...
... pour qu'elle devienne la pute de Béatrice. Et à la place de se révolter, elle l'accepta. Si elle avait des récriminations à faire, c'était contre elle ; de ne pas s'être rendu compte plus tôt d'à quel point ses médisances contre Béatrice et Yasmina étaient indignes. Qu'elle n'aurait jamais dû les dénoncer, et au contraire tenter de se lier d'amitié avec elles ! Maintenant, il était trop tard, elle était devenue leur esclave.
Caroline était occupée à tout autre chose : brouter le minou de sa fille. Pour les spectateurs, la ressemblance physique entre la mère et la fille rendait ce spectacle saisissant. Voir une mère faire jouir sa fille en lui enfonçant les doigts ou la langue dans la foufoune avait une saveur torride. Mais pour les deux femmes qui se gouinaient et se repaissaient l'une de l'autre, ce summum de perversion s'estompait peu à peu. Elles se rendaient compte qu'elles avaient passé un point de non-retour. Lorsqu'elles s'embrassaient, la mère ne considérait plus sa fille comme celle qui avait soufflé sur les dix-huit bougies d'anniversaire il y a deux mois, mais comme une autre salope à la botte de Béatrice. Quant à Aline, jusqu'à présent elle avait toujours eu un respect immense pour sa maman, c'était son modèle à suivre. Mais ce modèle s'écroulait dans le caniveau, non pas qu'elle ait cessé de l'aimer, mais une femme supérieure lui était apparue, Béatrice. Sa maman en comparaison n'était qu'une salope avec laquelle jouer. Béatrice était maintenant leur Maîtresse, ...