La Pimbêche -- 03
Datte: 22/07/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica
... les deux femmes de sa semence. Béatrice intervint immédiatement :
« Qu'est-ce que vous attendez! Ne laissez pas ce sperme refroidir, dégustez! »
Aline et Caroline se firent face à face. Aline commença à lécher les perles de foutre recouvrant les seins de sa mère, tandis que Caroline attendit d'être nettoyée pour passer des coups de langue sur la giclée de liquide visqueux recouvrant les fesses de sa fille. Elles se léchaient comme de jeunes chattes se régalant de petit lait. Béatrice continua à donner des ordres :
« Maintenant, je veux un bisou bien baveux, je sais que vous autres salopes vous adorez le sperme, alors soyez généreuses et partagées. »
Les lèvres des deux Houiller se rencontrèrent, puis les langues. Dans toutes autres circonstances, Aline et Caroline auraient immédiatement cessé et se seraient excusées de cette intimité. Mais devant obéir à Béatrice elles continuèrent à mélanger leur salive, et plus que leur salive, le sperme que contenait leur bouche. Elles pouvaient ainsi déguster le suc mâle passant sur leur langue. Caroline trouvait cela troublant, n'ayant pas l'habitude de sucer son mari, elle gardait longtemps le jus gluant dans sa bouche avant de le déglutir. Aline pas contre venait d'en avaler plusieurs kilos. Elle n'avait plus rien à apprendre au sujet du sperme et avalait sa portion sans rechigner.
Si elles n'hésitaient pas à obéir, elles agissaient encore comme des robots, n'osant prendre aucune initiative sans un ordre direct de ...
... Béatrice. Elles prolongeaient leur étreinte, échangeant des baisers mouillés, et quand de la semence aspergeait leur visage, elles se mettaient alors à passer leur langue sur leurs joues, nez, et menton avant de mélanger la crème blanche et juteuse entre leur deux bouches. La salive s'ajoutant au jus de foutre, elles avaient souvent la bouche pleine et de grandes quantités de liquide séminal et salivaire glissaient dans leur gorge.
Ce fut aussi des soixante-neuf. Mère et fille goûtant au même moment à leur abricot, tandis que des lycéens les recouvraient de sperme. Tout ceci, elles apprirent à l'apprécier, à se comporter comme des salopes prêtes à tout pour l'approbation de leur Maîtresse. Le plus dur pour elles, fut quand Yasmina tendit une règle à Aline et lui ordonna de fesser sa maman. Elle tenta de limiter les coups en caressant plus qu'en frappant son derrière, mais la foule s'indigna immédiatement de ce spectacle médiocre et chiqué. La méchante arabe exigea :
« Comme tu ne veux pas obéir, enfonce le gode dans le cul de ta mère, salope! »
Heureusement pour Caroline, le gode était tellement couvert de sécrétion de la moule de sa fille qu'il coulissa facilement. Malgré tout, la grosseur du gode donna à Madame Houiller l'impression d'être écartelée. On lui tendit la règle et Yasmina expliqua :
« Sois tu donnes une bonne correction à ta fille, soit tu lui enfonces ce gode dans le cul. »
Caroline ayant souffert fortement lors de l'enculage, elle se montra redoutable ...