1. « Josy » La petite salope cartonne au bar mais pas que… Épisode 9


    Datte: 21/07/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... l’écoutant, je ne savais que faire : « Si j’écoute André, il t’a bien initié aux joies de l’amour non ? D’après lui, tu serais une experte en petite gâterie. Ne fais pas ta timide, approche ! »
    
    Pendant qu’il parlait, j’avais regardé son sexe qui pendait entre ses jambes. Son pénis au repos ne semblait pas minuscule. Tout s’était passé très vite dans ma tête, j’avais besoin de ce travail et d’argent. D’autre part, ce poste à l’expédition était réservé aux employés modèles, moins fatiguant et probablement mieux payé. Je réfléchissais toujours, faire une pipe pour moi était un plaisir et non pas une punition, j’étais prête à le faire. Impatient, me voyant toujours immobile, il s’énerva : « Bon ça suffit maintenant. Ou tu viens ou tu es virée. »
    
    Voilà comment je m’étais retrouvée sous son bureau, sa bite dans la bouche jusqu’à avaler sa semence : « Tu es une bonne fille Josiane, tu ne le regretteras pas. André ne m’a pas menti, il n’y a rien à dire, tu suces comme une déesse. » Il avait tenu ses promesses, dès le lendemain, je fus mutée à l’expédition. Avec toutefois quelques inconvénients, Eugène avait interdit à Germain de venir marcher sur ses platebandes, les ragots sur mon compte s’intensifiaient et je devais passer dans son bureau une fois par semaine.
    
    En principe le mercredi midi, même si cela me dégoutait de baiser avec ce gros porc, car en effet, cela ne s’était pas arrêté à la fellation. J’avais effectivement eu une petite augmentation et le travail était moins ...
    ... fatiguant et bien plus plaisant. Germain n’avait jamais cessé de venir en cachette me rencontrer, je lui avais pardonné, je l’aimais trop et ne lui avais jamais parlé de ce que j’avais appris. Ne pouvant sortir avec lui les week-end, nous avions pris l’habitude trois à quatre fois par semaine, de faire l’amour tendrement, à la pause déjeuner, dans la réserve en toute discrétion.
    
    D’autre part, tous les week-end je travaillais au noir, au bistrot de la place, ce qui me permettait de mettre tout cet argent de côté, mon pactole augmentait considérablement. Mais pas que, Marius très porté sur la chose, me baisait toujours bestialement quatre fois, du samedi au dimanche. Côté sexe, j’avais donc ma dose et étais très satisfaite avec mes trois amants tous différents les uns des autres. Avec Germain c’était de l’amour, avec son père une obligation et avec Marius un vrai besoin.
    
    Et André dans tout ça ? Me direz-vous. Je ne voulais surtout pas le décevoir. Ma mère n’ayant plus d’amant, autre que Jean Charles qu’elle voyait la journée, elle ne sortait plus les soirs afin d’être à sa disposition. J’avais donc fait un pacte avec lui, dès que le besoin s’en faisait sentir, je lui offrais mes maxillaires. Les soirs après le travail, je prenais ma douche. Je ne fermais jamais la porte de la salle de bain à clé et au rythme d’une fois dans la semaine, quelques fois deux, il aimait venir me voir nue.
    
    Lorsque je le voyais se branler doucement en me matant pendant que ma mère s’activait ...
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