« Josy » La petite salope cartonne au bar mais pas que… Épisode 9
Datte: 21/07/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
Suite à mon arrêt maladie, malgré les relances incessantes de Germain, je ne voulais plus entendre parler de lui. Ça me faisait très mal, cependant je ne pouvais lui pardonner ce que son père avait fait subir à ma mère. Pourtant, André était l’investigateur mais maintenant que je savais qu’il mettait toujours de l’argent de côté jusqu’à ma majorité. En faisant les calculs, je pouvais toucher dans deux ans et demi, la coquette somme de quinze mille francs. Assez pour débuter une nouvelle vie.
Je devais donc patienter, c’était la raison pour laquelle, je restais docile avec lui et agissais comme si de rien n’était. À l’usine, dès ma reprise, Germain était venu me relancer trois jours de suite sans succès. Les mauvaises langues faisaient courir des ragots sur moi. Je ne me sentais pas du tout à ma place, très peu de femmes me parlaient, elles me prenaient toutes pour une petite trainée qui baisait avec le fils du patron pour obtenir de l’avancement.
Le jeudi à midi, Michel le jeune assistant, vint me voir : « Le grand boss veut te voir immédiatement dans son bureau. » Eugène M en personne me convoquait, ce n’était pas anodin. En général, cela finissait souvent par un licenciement car il traitait personnellement tous les entretiens disciplinaires. Qu’avais-je pu faire pour être convoquée ? Lorsque j’étais arrivée dans son bureau, je fus intimidée par ce gros personnage sévère, se trouvant devant moi, avachi sur son grand fauteuil, fumant le cigare :
— Je ne vous ...
... cache pas Mademoiselle que je suis très déçu de votre comportement. Ça fait à peine un mois que vous être embauchée que déjà vous vous absentez pour maladie. J’ai besoin de salariés courageux, volontaires, assidus, si vous n’avez pas ces qualités, vous pouvez rester chez vous.
— Mais…— Tais-toi ! Hurla-t-il. Ne me coupe pas la parole. Tu es ici uniquement grâce à mon cousin. As-tu ces qualités ?
— Oui ! Monsieur M, j’essayerai de ne plus vous décevoir.
— Tu ne vas pas seulement essayer. À ce propos ! Il y a des bruits qui courent à propos de mon fils. Tu sais ce qu’il en retourne ?
Il ne me laissa pas répondre, il était parti dans son monologue en me faisant comprendre qu’il n’avait qu’à signer ma lettre de licenciement qu’il me montrait entre ses deux doigts boudinés. Toutefois, il savait se montrer indulgent avec les employées se montrant dociles, en acceptant certaines petites faveurs de leur part. Insistant sur le fait que d’autres avaient essayé de lui dire non, mais que malheureusement, celles-ci ne travaillent plus ici depuis : « Je peux même te proposer un meilleur poste, à l’expédition par exemple où tu ne serais pas trop fatiguée, si tu veux. »
Tout en parlant, il s’était relevé pour baisser son pantalon, avant de se remettre assis sur son fauteuil. Non ! Ce gros bonhomme désirait que je lui taille une pipe, comme ça, là. Un vieux pervers ! Ce personnage était odieux. Il avait pratiquement violé ma mère et maintenant il m’imposait une fellation. En ...