Perversions à l'hôpital -- Ch. 01/03
Datte: 20/07/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byJohnUhuru, Source: Literotica
... un peu décontenancé, je lui tourne le dos, je me déshabille rapidement et mets la douche en route. L'eau chaude me fait du bien, mais je sens dans mon dos un regard cuisant que j'imagine braqué sur moi... Je me savonne du mieux que je peux, et m'apprête à me rincer quand d'un coup, je sens une main se poser sur mon épaule... Mon sang se glace à ce contact.
« Vous n'avez pas bien fait votre dos... Murmura mon accompagnatrice »
Je reste pétrifié alors qu'elle commence à me savonner le haut du dos, ses gestes sont sûrs, précis et en même temps assez sensuels. Mais lorsque ses mains descendent vers le haut de mes fesses, je sens une érection commencer à monter... En plus d'être un peu douloureux, ce n'était vraiment pas le moment... Je remets l'eau en route et je me rince rapidement. Dans ma précipitation, je me retourne pour prendre ma serviette et nos regards se croisent, enfin plus exactement, je surprends son regard qui se balade au niveau de mon entre-jambe. J'enfile prestement la blouse bleue ouverte derrière qu'elle me tend en souriant comme si elle était amusée par la situation. Nous regagnons ma chambre et je constate qu'elle me laisse passer devant... Elle m'aide ensuite à m'allonger et elle justifie de devoir réajuster ma perfusion pour se coller à moi. À ce moment, je peux sentir la chaleur de son corps et son parfum dans ses cheveux. Enfin, elle se lève, ajoute une poche d'antalgique sur la potence puis elle quitte la chambre après m'avoir salué poliment. ...
... Je pousse un profond soupir... Je suis à la fois terriblement gêné, un peu douloureux et en même temps excité... Un mélange que j'expérimente pour la première fois...
La nuit avance lentement, à peine une heure trente après la dernière injection d'antalgiques les douleurs reprennent. Il est alors une heure du matin, n'en pouvant déjà plus, je sonne. Moins d'une minute plus tard, Mélissa entre doucement dans ma chambre. Je lui explique la situation, mais elle me répond embêtée :
« - Le problème, c'est que je ne peux plus rien vous donner avant quatre heures... je vais voir avec l'infirmière de garde. »
Elle revient plusieurs minutes plus tard, seule et sans médicaments... Je me décompose. Mais elle me lance avec un petit sourire :
« Je ne peux rien vous administrer mais, ça ne veut pas dire que je ne peux rien faire pour vous! »
Sur ces mots, elle débloque les roues de mon lit et commence à me pousser à travers les couloirs de l'hôpital. À cette heure tardive, l'endroit est silencieux et les lumières sont presque toutes éteintes, créant une ambiance particulière et un peu inquiétante. Après quelques minutes de trajet, nous arrivons dans une pièce de soins mais je suis surpris par les équipements qu'elle contient : les écrans plats ornent les murs, sur une console à droite, je compte trois ordinateurs portables mais aussi plusieurs casques de réalité virtuelle... Je suis de plus en plus dubitatif.
« - On va tenter une autre approche, me dit-elle presque en ...