1. Chloé exhibitionniste


    Datte: 19/07/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Davidson, Source: Hds

    ... profitait de ces instants pour accentuer le contact en poussant ses fesses au maximum contre l'individu tout en ayant envie de dire "tout le plaisir est pour moi" et en se contentant d'affirmer "il n'y a pas de mal".
    
    L'autre lieu d'exhibition avérées étaient les brasseries sur le port avec leurs terrasses.
    
    Elle les fréquentait surtout au printemps et en automne lorsque la météo rendait normal le port des bas sans imposer les manteaux trop couvrants. Elle aimait beaucoup y prendre le thé; l'une de ces brasseries avait un intérieur très "rétro" organisé avec des mini coins-salons. Lorsque Chloé s'y installait en jupe moulante elle laissait faire les choses et c'est le tissu qui décidait de la quantité de peau à découvrir; par contre lorsqu'elle était en jupe plutôt ample, elle avait un geste élégant de la main pour éviter que ses fesses ne se posent sur la jupe (risquant de la froisser) et pour faire en sorte que ses fesses soient en contact direct avec son siège.
    
    Bien sûr à ceci s'ajoutait la façon de croiser les jambes suivant les "regards" qu'elle avait capturés.
    
    Le piège le plus subtil était de croiser les jambes au niveau des chevilles, cela provoquait l'écartement naturel des genoux, et ouvrait des perspectives superbes pour ceux qui parvenaient à s'installer dans le bon angle de vue.
    
    Bien sûr le sommet de la provocation avec les brasseries se faisait en été, et plus particulièrement en terrasse.
    
    L'été il n'y avait pas de limites, d'une part parce qu'il ...
    ... y avait la concurrence des jeunes femmes scandinaves qui étaient particulièrement avides de soleil et n'avaient pas "froid aux yeux", et d'autre part parce que la libido des hommes semblait plus exacerbée.
    
    L'été bien sûr la générosité des décolletés s'ajoutait aux jupes fendues de façon excessive.
    
    Chloé aimait bien avoir un chemisier suffisamment déboutonné pour que l'on puisse constater l'absence de soutien-gorge, ensuite elle avait une gestuelle suffisamment précise pour que l'aréole de l'un des deux seins soit visible.
    
    Sa rencontre avec Momo (pour Maurice) avait été déterminante. Momo, jeune quinquagénaire était une sorte de candauliste qui adorait l'exhiber (et qui la faisait jouir comme personne ne l'avait jamais fait). C'est lui qui lui avait interdit tout string ou soutien-gorge, et il ajoutait "ce n'est pas la peine d'être cul-nu si personne ne s'en aperçoit!"Il appelait leurs sorties des "parties de pêche" dans lesquelles l'intérêt était "d'accrocher du poisson". Et c'est ainsi qu'excitée par le fait d'être "cul nu", Chloé avait le sexe mouillé de cyprine dès la sortie de chez elle.
    
    Lorsqu'il l'accompagnait à la librairie, il la conduisait souvent au rayon "adultes" où elle n'osait pas aller avant.
    
    Avec une apparente inadvertance sa main posée sur le haut des fesses retroussait les jupes "sans le faire exprès". Chloé avait tout de même fixé une limite: le pli inférieur des fesses, lorsqu'elle sentait le tissu franchir cette limite elle rabattait le bas ...