Chloé exhibitionniste
Datte: 19/07/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Davidson, Source: Hds
Chloé adorait être désirée, ce qui faisait d'elle une exhibitionniste avérée, de plus, outre le fait d'être l'objet des désirs sexuels des hommes, elle aimait se sentir accessible.
Trop de femmes à son avis se voulaient désirables et s'habillaient de façon à être inaccessibles (collants fermés par exemple). A vingt trois ans elle possédait déjà une belle expérience sexuelle, mais avait rencontré beaucoup plus d'hommes à la recherche de leur plaisir personnel plutôt qu'à la découverte du plaisir de l'autre.
Et en fin de compte, savoir que la limite supérieure de ses bas et la limite inférieure de sa jupe flirtaient la satisfaisait déjà.
Son reflet dans les vitrines des magasins lui donnait une première indication; le regard des hommes une confirmation sur l'intérêt qu'elle suscitait; et enfin le silence qui se faisait à son entrée dans une boutique ou un restaurant lui fournissait la preuve ultime de l'attrait qu'elle offrait.
Bien sûr elle avait des lieux de prédilection pour exercer ses charmes; elle aimait bien les librairies, d'une part parce qu'une sélection naturelle de la clientèle s'y effectuait spontanément, et d'autre part parce qu'il y était normal de s'y pencher en avant, les jambes tendues pour pouvoir consacrer plus d'attention à la lecture des titres des ouvrages sur les rayons.
Elle sentait bien les lisières des bas et de la jupe se séparer l'une de l'autre, et la peau nue apparaitre aux yeux des personnes attentives.
Il y avait surtout la ...
... librairie "Flammarion" avec son demi-étage en balustrade, et surtout l'escalier en bois ajouré qui y conduisait. Elle avait affiné sa façon de gravir les marches de manière suffisamment lente mais surtout en restant élégante; elle savait que suivant où se situaient les hommes qui la suivaient ils pouvaient apercevoir beaucoup plus que la bande de chair au-dessus des bas.
Les vendeurs surtout avaient repéré cette cliente qui venait trois à quatre fois par mois et qui achetait régulièrement des ouvrages traitant d'ésotérisme.
Le fait est que lorsque Chloé portait une jupe courte mais relativement ample, suivant les angles de vues on apercevait son string et les choses qu'il aurait dû dissimuler.
Les vendeurs étaient cantonnés à leur secteur, mais les hommes qu'elle avait pu "accrocher" à l'extérieur et qui l'avaient suivit à l'intérieur, eux pouvaient se déplacer librement, et il n'était pas rare pour Chloé de s'accroupir, genoux écartés, pour scruter les ouvrages des rayons les plus bas, et elle savait bien que celui qui se plaçait dans l'axe devant elle, avait une vue bien précise de son string s'incrustant entre ses grandes lèvres.
Bien sûr il n'était pas rare qu'un de ses "suiveurs" ne lui frôle les fesses du dos de la main en passant derrière elle; il arrivait également que l'un d'eux passe derrière elle entre des rayons relativement étroits et que son bassin se frotte avec insistance contre ses fesses, le tout accompagné d'un hypocrite "excusez moi". Chloé ...