1. Noémie la renifleuse de queue à la FAC 5 - Le gardien me démonte


    Datte: 14/07/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: SMART77, Source: Hds

    ... de gémir sous l’intrusion de sa main dans ma chatte.
    
    — Alors, de quoi t’as l’air là !
    
    — Une traiinnnéeee monnnnsssieuuur..
    
    — Et quoi encire !
    
    Il arrête de meurtri mon intérieur et je me lâchai.
    
    — UJe ressemble à la dernière des putes monsieur, la plus grande salope qui existe, un jouet docile fait pour amuser les vieux pervers !
    
    — Oh oui ce que tu m’excites ma Noémie ! Je vais encore te bourrer comme tu le mérites.
    
    — Oh oui, allez-y monsieur Robert, branlez-vous dans ma chatte !
    
    Il s’enfonça d’un énorme geste et me redéboita et je me sentais partir une nouvelle fois. Comment faisait-il pour me faire jouir autant. J’avais envie de lui, qu’il me prenne tous les jours, qu’il fasse de moi sa soumise tant j’aimais ce qu’il m’infligeait et comment il me traitait. Comme s’il lisait dans mes pensées en ralentissant ses coups de reins, il déclara dans un soupir.
    
    — Tu va être a petite pute n’oublie pas Noémie.
    
    J’hésitais entre deux feulements.
    
    — Oui monsieur Robbbbert… tout ce que vous voulez.
    
    — C’est bien tu va être à moi. Dis-le et soi convaincante sinon « jarrète tout de suite de baiser et je te donnerai pas un second orgasme.
    
    Je ne tergiversai pas me trouvant à deux doigts, ou un gland, de partir de nouveau. Le fixant à travers le reflet du miroir, comme une catin je confirmai.
    
    — Oui monsieur Robert je serais votre pute, votre jouet, je serais à vos ordres. Je vous sucerai, je reniflerai votre bite, je la nettoierais, vous me baiserez, ...
    ... mais je vous en supplie, faites-moi jouir.
    
    — Je te prêterai à des amis, je vais faire de toi un véritable vide-couilles qui va me rapportez un max !
    
    — Ouiiiiii
    
    Il redoubla de vigueur, il m’emboutissait de son burin infatigable et m’envoya de nouveau dans les cieux de la débauche. Il ne m’accorda pas le temps de profiter et de reprendre mon souffle. Il m’empoigna les cheveux et me tira à ses pieds.
    
    — Allez maintenant tu vas me finir.
    
    — Oh oui monsieur, du bon jus chaud.
    
    Je tendais la main pour serrer sa barre de fer volumineuse que je commençai à branler. Il était trempé et sali des traces blanchâtres que mon vagin écartelé avait laissées.
    
    — Tu vas recevoir ta récompense. Tu la veux où ma p’tite gourmande ?
    
    — Sur mon visage de jeune salope monsieur s’il vous plaît.
    
    — Oui c’est bien. Toi tu me plais vraiment. Allez nettoies ma bite !
    
    Je m’évertuai à laper les marques, léchouiller puis englober son gland poisseux dans le creux de mes joues. Il empoigna ma tignasse, pencha ma tête en arrière et branlait sa grosse mentule à un centimètre de mon nez..
    
    — Hummmm, je vais venir… Réclame !
    
    — Oui monsieur du jus, du jus donnez-moi votre jus je suis assoiffée de foutre !
    
    — Ahhh je vais jouir putain de salope !
    
    Il accélérait le mouvement de la peau sur son pruneau qui suintait.
    
    — Oui du foutre s’il vous plaît, pitié, barbouillez la chienne que je suis…
    
    — Ahhhhhhhhhhh.
    
    Je vis un jet blanc sortir de son urètre qui se rependit sur mon nez, un ...