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Noémie la renifleuse de queue à la FAC 5 - Le gardien me démonte
Datte: 14/07/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: SMART77, Source: Hds
... film X. Il continua quelques minutes à me besogner presque tendrement. Je le provoquai de mon regard azur et avançais mon bassin pour m’empaler sur sa queue. — Humm, t’en veux jeune chienne Je lui offrais mon plus beau rictus de dépravée. — T’en veux hein. Dis-le ! — Oui Monsieur Robert, baisez-moi, défoncer moi comme une vulgaire putain, faite moi gueuler ! Sans coup férir, il m’enfila en rodeur et me força à pousser un énorme cri qu’il s’empressa de couvrir sa main. Malgré l’heure tardive, nous nous trouvions quand même dans les toilettes de la FAC. Je couinait sous ses premiers coups. Il ne me ménageait pas et je sentais mon minou peu expérimenté s" écarteler. Ses couilles lourdes claquaient sur ma peau et résonnaient dans la pièce où je suçais tous les soirs. — Mrphp, hummm… ah ah Il ralentissait le temps de reprendre sa respiration, je haletais toujours en laissant échapper un râle diffus et il repartait à l’attaque tambourinant dans mon vagin. Il me pénétrait dans une cadence folle. Je poussais des plaintes étouffées par sa paluche de bucheron qui sentait l’odeur forte de ma chatte. Jamais on ne m’avait baisé ainsi. Il suait à grosse goutes, il me dégoutait et m’excitait à la fois tant il me procurait il me faisait mouiller. Je l’enlaçai par les épaules et collais mon top ruiné par ma bave et la pisse sur son poitrail. Je me réfugiai dans ses bas pendant qu’il burinait mon vagin avec son immense gland. — Tiens ! Prends ça, sale pute. Tu vois les ...
... vieux comme il te bourrine bien cochonne ! — Ohhhh Ouiiiii… c’est booonnn. Encore Monsieur Robert, j’ai jammmmais kiffer commmmmme ça… Une étrange sensation montait en mois pendant qu’il me percutait. Mon nez plongeait dans son coup en sueur. Il tourna la tête et il m’embrassa avec son haleine fétide, mais me trouvant tellement excitée que je répondis à son baisé ou nos langues baveuses se mélangeaient. Il me libéra et continua à me démonter en règle quand je sentis se propager en moi un sentiment indescriptible. Ma chatte en ébullitionainsi que mes tétons dressés trahissaient la venue d’un orgasme comme je n’en avais jamais connu. Je mordais sa main et criais si fort que même le recteur de l’université à l’autre bout du bâtiment aurait pu m’entendre. — Oh, tu jouis ptite garce. Vas-y prend ton pied ! Il m’administra encore quelques coups de bite alors que je venais de connaitre le premier coït vaginal de ma courte vie de jeune baiseuse. Il ralentissait et j’avais l’impression de redescendre du septième ciel au par palier orgasmique, savourant ma jouissance. Je retrouvais mes esprits quand il me retourna face au miroir. Je ne ressemblais plus à rien, les yeux brillant et rougi, le maquillage coulé sur mes joues, de la bave, autour de la bouche. Haletante, il m’attrapa par mes cheveux déjà en désordre. — Regarde à quoi tu ressembles. Je fixai la glace devant moi pendant qu’il glissait ses doigts dans mon vagin sous des bruits de clapotis. Je me contentais ...