1. Au Parc la nuit


    Datte: 12/07/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Lisa-Al, Source: Hds

    ... Marlène.
    
    Gilles riait en se réajustant, avec Marlene on se titillait souvent comme ça, celle qui serait la plus ordurière gagnais, Gilles adorait nos disputes feintes. Au fond, je les aimais bien, on s’amusait vraiment. Je n’ai pas perdu le contact avec eux, je suis passée à autre chose, eux continuent à hanter parcs et jardins, si vous tombez sur eux un de ces jours, vous passerez un bon moment.
    
    Nous voilà dans la voiture, direction le parc. Celui-ci est connu pour être le rendez-vous d’exhibition qu’il est toujours, un lieu de drague gay également. C’est un endroit presque plus fréquenté la nuit que le jour. Voiture garée pas trop loin, bras dessus bras dessous nous voilà à l’orée du parc, Marlène toujours prête à la moindre connerie, se trousse totalement, se met une claque sur le cul et hurle
    
    Ce soir, je suis en entrée libre !!! Viennent les mecs !! Venez Venez !!
    
    J’enchaîne en me mettant à crier, Pipes gratuites !! Venez vous faire sucer.
    
    Je ne vous cacherais pas, que nous avons à notre actif plusieurs mojitos bien corsés et quelques joints. J’en ai d’ailleurs un que je repasse à Marlène. Gilles nous pousse en avant, en nous passant la main au cul. Je m’arrête dans l’allée, me penche en avant, il m’enfonce ses doigts dans la chatte et me pistonne un instant…
    
    Putain, c’est bon salaud!! Dis-je frissonnant,Tu es réellement une pute, me dit Gilles.
    
    Il sort sa queue, et je m’accroupis au milieu de l’allée, et commence à le sucer avec application. Le tout ...
    ... sous un lampadaire, je suis certaine qu’on nous voit depuis le boulevard en passant en voiture. Sirène, lumière bleue. Une voiture de flic passe en trombe, Gilles remballe, je me relève croise les pans de ma robe devant moi. Les cons, ils nous ont dérangés, on doit s'enfoncer plus loin dans le parc.
    
    Il y a du monde par là suivez moi, fait Gilles.
    
    En effet, dans les ombres, j’aperçois des silhouettes qui nous accompagnent à distance. Marlène a enlevé son imper et se promène nue, sur ses talons qui claquent sur l’allée goudronnée, sa chevelure rousse flamboyante lui tombe au creux des reins, sa peau claire brille sous les lumières de la lune et des réverbères, elle marque lentement balançant son cul au rythme de sa marche. Moi j’ai ouvert ma robe, mes talons font aussi du bruit, je tourne sur moi-même qu’on puisse voir que je suis à poil. J’adore ça, ses yeux qui sont posés sur moi. Ma main entre mes cuisses agace ma chatte, j’ai hâte de voir du monde. Gilles nous mène jusqu’à une sorte de place ronde, avec des bancs tout autour, au centre de cette place une vasque avec des fleurs multicolores. Gilles s’approche de Marlène et lui prend les seins à pleine main. Elle roule des hanches et pousse de petits cris qui ameutent plusieurs ombres. Je me suis assise sur un banc, un pied posé sur le sol l’autre sur le banc, cuisses largement écartées, d’une main je me caresse le minou, de l’autre, je masse mes seins. La tête rejetée en arrière. Doucement, des mecs approchent, il y a ...
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