1. Au Parc la nuit


    Datte: 12/07/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Lisa-Al, Source: Hds

    Quand on provoque certaines choses, elles vous prennent, sans crier gare, on se retrouve loin de notre but. C’est bien ce qui est arrivé, j’ai voulu être libre et sans le voir, je fonçais vers une autre servitude, un autre enfer sans doute pire que celui auquel j’avais échappé, dans ce mariage raté. Je me vengeais des mois passés, perdus dans l’espoir que tout allait s’arranger. Ma fuite en avant me conduisait vers un autre piège.
    
    Je multipliait les aventures, avec un succès mitigé, pour une rencontre agréable et chaleureuse, combien furent de belles déconvenues, je ne sais pas, je ne veux pas savoir. On me dit maintenant que j’étais folle de me lancer dans des rencontres scabreuses. Je le vois aujourd’hui, je l’admets, j’ai été une belle petite conne, j’ai traversé tout ça sans expérimenter de situations trop dangereuses. Si j’analyse ma conduite de cette époque, il y a une feuille de papier entre la vie d’une femme libérée et aventureuse et celle d’une prostituée. L’ unique différence est que je le faisais gratuitement.
    
    Sur Internet, j’avais rencontré un couple très, coquin, qui cherchait une femme complice pour des jeux à trois ainsi que des exhibitions dans des parcs et lieux publics.
    
    Marlène et Gilles étaient un couple dans la quarantaine, très classique au fond, mais Gilles avait une libido surdéveloppée, Marlène très soumise et suiveuse ne donnait pas sa part au chien surtout si son mari l'aiguillonne. Une aventure à trois ce n’était pas bien nouveau pour ...
    ... moi, ce qui l’était bien plus c’était ces jeux d'exhibitions en public. Je ne suis pas à la base une fille aimant se montrer, non. Mais si je sais qu’on me regarde, j’y suis extrêmement sensible, je vais me donner à fond pour ceux qui me regardent. J’aime exciter les hommes et les femmes. J’aime penser qu’ils me traitent de salope dans leurs têtes ou à haute voix. Je ne me sens pas insultée, mais flattée. Ce n’est pas non plus ma première expérience lesbienne au sens découverte et révélation. Si avec Marlène, on se caressait, se branlait, il n’y avait jamais de duo entre elle et moi, mais des partages à trois. Je ne me voyais pas seule avec une femme à ce moment-là. Mon désir demeurait un désir de sexe masculin, en un mot clair et cru, je voulais de la bite.
    
    22 h 00, Gilles nous dit qu’il est temps d’aller au parc, il faut chaud, nuit de fin juin. J’ai une robe légère boutonnée devant et rien dessous sinon je porte mes bas, pas de culotte comme toujours, ma chatte rasée de près. Je suis très excitée, Gilles m’a donné un petit acompte en me prenant à quatre pattes sur la moquette de leur salon, tandis que Marlène se godait en nous regardant. Nous avons jouis tous ensemble ou presque, Gilles m’avait si bien remplie, que son foutre finit sur le tapis Marlène elle avait giclé comme un arroseur de pelouse et constellé la moquette de tâche humide et nous avait copieusement arrosés, Gilles et moi.
    
    Salope!! tu m’en fous partout dis-je.
    
    Mais t’adore çà petite pute me dit ...
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