La vie d'Anaïs - 2 - Histoires de Sexe

La vie d'Anaïs - 2

... arrière. Elle se branle sur ma figure. Je sors ma langue et je lèche. Elle coule beaucoup. Elle crie, elle me jouit dessus. Madame Sophie me branle avec ses doigts. Madame Julia me pince les tétons. Je gicle encore sous leurs yeux.

— On va te rincer, petite cochonne, va dans la douche.

Je suis assise au fond de la douche, les cuisses ouvertes, j’attends. Elles arrivent complètement nues. J’ai toujours ma jupette et mon chemisier ouvert. Elles se caressent sous mes yeux. Instinctivement, je me caresse aussi. Puis elles s’approchent et tendent le ventre au-dessus de moi.

— Alors, on lui fait ?
— Oui, on lui fait.

Et d’un seul coup, toutes les deux ensembles, elles me pissent dessus en plein visage. Curieusement, ça me fait jouir. Mes jambes se tendent, je crie :

— Je jouis, j’en veux encore.

Puis je me pisse dessus à mon tour en me l’étalant sur les cuisses, sur le ventre, sur les seins. Je n’ai jamais pissé pendant l’orgasme, c’est fabuleux. Je vais pour prendre le tuyau de douche.

— Tut, tut, pas question. Tu remets ta culotte et tu rentres chez toi comme ça, souillée comme une vulgaire catin.
— Et j’espère que ta maîtresse te corrigera en conséquence. Tu lui dis de notre part qu’elle peut aussi venir te corriger ici.
— Et estime-toi heureuse que l’on ne te fasse pas rentrer en bus. Hi hi hi.
— Plus sérieusement, si un jour tu cherches du boulot, viens me voir ! Je cherche une assistante pas trop farouche. Tu mets juste des jupes un peu plus longues. ...

... Je reçois du monde, tu dois avoir l’air sérieuse, respectable. Tu me montres tes dessous, je te touche et quand tu m’excites, tu passes sous le bureau. Pour toute erreur ou faute, tu reçois la fessée par moi ou par Sophie qui a aussi autorité sur toi. Ah, aussi, très bon salaire en vue.

J’ai dû fouiller dans mon coffre pour trouver une protection pour le siège de la voiture. Pourvu que je ne me fasse pas arrêter. Rien que cette idée me provoque des fourmillements. Je m’arrête sur le bas-côté, je me branle et au moment de jouir, je pisse dans ma culotte. Je deviens vraiment très perverse. Oh, quand madame Germain va savoir ça… Dès que je rentre, elle me tombe dessus.

— C’est quoi, cette tenue ? Pouah, tu pues la pisse, tu t’es baignée dans les égouts ? Va te laver et te changer, lave ton linge tout de suite. Tu me raconteras après.

Je raconte tout à Madame Germain, y compris l’épisode de la voiture. Je suis allongée en culotte sur le canapé, la tête sur ses cuisses. Je me touche par-dessus ma culotte en narrant mes aventures. Elle me titille les pointes. Je lui dis que je dois être malade, nymphomane, que je mouille tout le temps, que j’ai toujours envie de jouir et que j’aime ça. Je lui dis que j’aime que des femmes abusent de moi et me forcent à faire des choses sales, humiliantes, dégradantes.

— Anaïs, je veux te regarder jouir en pissant dans ta culotte. Veux-tu le faire pour moi ?
— Oh, madame Germain, je n’osais pas vous le demander. Merci.

Je me redresse ...