1. Périple en camping-car 11 : Trente ans après, toujours coquine


    Datte: 11/07/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... t’enculer ma belle, mais ta chatte est si bonne !
    
    - Oh oui c’est bon ! Il y a trop longtemps que je n’en ai pas pris une comme ça ! Et toi, puisque tu ne peux plus, regarde bien ta femme qui se fait baiser comme une truie ! Ohhhh ! Je viens !!! »
    
    Pour la deuxième fois, Josette jouit et ses fluides coulent le long de ses jambes en m’arrosant.
    
    On se reprend un peu après cet assaut intense. Josette se redresse et viens se coller à moi pour m’embrasser à nouveau. Son corps brûlant serré contre le mien, lui communique sa chaleur.
    
    - « Viens dans ma chambre ! Tu vas me baiser sur le lit conjugal ! Ça fait longtemps qu’il n’a pas servi à ça ! »
    
    Toujours entravé par mon pantalon, je me déchausse et je quitte pantalon et slip pour suivre Josette. Dans la chambre, je me retourne et je constate que le mari a suivi. Il me semble apercevoir un sourire sur son visage.
    
    - « Je crois que ton mari aime te voir nue, même avec un autre homme. A mon avis, tu devrais lui en faire bénéficier d’autres fois.
    
    - Tu crois ? C’est vrai ? Ça te plaît ? demande-t-elle à son homme, qui approuve d’un léger hochement de tête.
    
    - Je crois que oui.
    
    - Eh bien, je crois que ton gendre va souvent venir à la maison dorénavant.
    
    - Ah parce que… dis-je
    
    - Je te choque ?
    
    - Oh non ! Si tu savais !
    
    - Cochon !
    
    - Cochonne ! Ça fait longtemps avec ton gendre ?
    
    - Non. Un an à peu près, et encore, nous ne l’avons fait que deux fois. Ce n’est pas facile… enfin, maintenant qu’il pourra ...
    ... venir ici, ce sera plus pratique. Il a une…
    
    - Une queue ? Une bite ?
    
    - Oui ! Une queue énorme ! C’est terrible !
    
    - Je ne fais pas le poids alors ?
    
    - Tais-toi couillon ! Grâce à toi je vais pouvoir baiser plus souvent et puisque ça plaît à mon mari, il y aura trois heureux.
    
    - Et ta fille ?
    
    - Ils sont séparés. Mon gendre m’a dit que je lui rappelait sa femme, en plus chaude.
    
    - Eh bien, éclate-toi ! Tu ne voudrais pas l’inviter ? On te baiserait à deux !
    
    - Tu es un malade toi ! Il n’est pas aussi libéré que toi. Déjà qu’il culpabilise pour mon mari.
    
    - Maintenant il ne culpabilisera plus.
    
    - Salaud !
    
    - Salope !
    
    - Allez, viens sur le lit ! Tu m’as excitée avec cette histoire. Fais-moi l’amour mon cochon. Viens me bouffer la chatte et ensuite tu m’enculeras ! »
    
    Après ce programme alléchant, nous restons couchés à nous bécoter et nous caresser. Je suggère à Josette d’appeler son gendre.
    
    - Tu es fou !
    
    - Il faut battre le fer tant qu’il est chaud et tu es bien chaude ! Profites-en ! » Elle hésite encore un peu et, sur mon insistance, appelle son gendre. Je lui fais mettre le haut parleur
    
    - « Allô Gilles ? C’est Josette.
    
    - Bonjour. Comment vas-tu ?
    
    - Bien… Je pensais… il y a longtemps que… l’on ne s’est pas vus.
    
    - C’est vrai, mais c’est ta faute aussi. Je t’ai dis que si tu voulais, c’est toi qui m’appelais.
    
    - Oui, oui,, mais…
    
    - Mais quoi ?
    
    - Ce n’est pas si facile tu comprends ?
    
    - Je pense souvent à toi tu sais ?
    
    - ...