Périple en camping-car 11 : Trente ans après, toujours coquine
Datte: 11/07/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... trop vieille ?
- Si je suis venu te voir, c’est parce que j’en avais envie.
- Malgré les années ?
- Moi aussi j’ai vieilli. Tu es aussi bandante qu’il y a trente ans !
- Alors, qu’est-ce que tu attends ? »
Je me lève et la prenant par la main, je la fais lever. Contre moi, je retrouve son corps sculptural. Elle me dépasse de vingt centimètres et si ses formes se sont épaissies, elle n’en demeure pas moins très attrayante.
Josette se colle à moi et nous échangeons un premier baiser. Nos mains partent à l’assaut de nos vêtements. C’est à celui qui est le plus rapide pour enlever ceux de l’autre. A ce jeu, c’est Josette qui gagne, surtout qu’elle s’est concentrée sur mon pantalon. J’ai néanmoins réussi à lui retirer son corsage et à dégrafer son soutien gorge. Son imposante poitrine se tient toujours bien et mes mains empaument ses seins, dont les grandes aréoles et les gros tétons attirent ma bouche.
Elle me laisse faire un peu, mais très vite, se laisse glisser à genoux pour avaler mon chibre bien raide.
Elle me gratifie d’une pipe gourmande qui achève de me dresser. Je termine de me déshabiller, le pantalon toujours sur mes chevilles. Je la relève, fini de lui ôter ses derniers vêtements et je la pousse contre la table, où elle pose ses fesses opulentes. Je plonge mon visage entre ses cuisses. L’odeur de sa chatte déjà bien humide, monte à mon nez. Sa foufoune est poilue, mais bien taillée ras, aussi je me régale de son bouton qui pointe et de ses ...
... sucs qui coulent.
Josette était et est toujours une gourmande. Elle me repousse et me demande de la prendre. Je viens alors debout contre elle. Elle saisit ma hampe et se l’introduit elle-même directement, puis entoure mon cou de ses bras pour reprendre son baiser et d’une jambe, elle entoure ma taille.
Son corps collé au mien embaume mes narines de son odeur de femme en chaleur. Je lime sa connasse qui clapote et que je sens couler sur mes couilles. Elle doit me lâcher pour se pencher en arrière, les coudes sur la table pour regarder le spectacle.
Dans un grand cri, elle se lâche une première fois. Sans attendre, je me recule et je la retourne pour la pencher sur la table.
Son cul bien large est un appel au viol. Je l’embroche à nouveau, agrippé à ses hanches. C’est alors que je vois son mari sur le pas de la porte du salon, il a avancé son fauteuil roulant et contemple sa femme qui se fait baiser. Ses yeux sont exorbités, sa bouche ouverte, mais il ne peut détacher son regard de notre couple.
Machinalement, je lâche un bras et le pouce levé, je lui manifeste mon contentement de baisser sa femme.
- « Ton mari ! » Josette tourne sa tête et s’adresse à lui :
- Oh oui ! Regarde comme il me baise bien celui-là ! Ça fait trente ans qu’on ne l’a pas fait ensemble. Il me baisait déjà bien. Tu ne le savais pas alors. Ce n’est pas le seul qui me baisait, mais lui il est revenu pour ça. Oh oui ! Vas-y ! Défonce-moi ! Prend-moi le cul salaud !
- Oui, je vais ...