les monos
Datte: 06/07/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Fab38300, Source: Hds
... les jeunes et partie à ma recherche, tandis que les deux jeunes fixaient ses fesses moulées dans le jeans en échangeant des regards complices. Pour ma part, j’avais continué mon chemin et discutais avec un représentant du club œnologie quand elle me rejoignit.
« Alors ou étais-tu passé, tu me laisses seule et sans défense maintenant » dit-elle en souriant
« Tu n’avais pas l’air en mauvaise compagnie, avec ces deux jeunes fort sympathiques, et puis tu n’étais pas sans défense, tu avais deux chevaliers servants, prêts à bien s’occuper de ta charmante personne » Lui répondis-je en esquissant un clin d’œil. Elle rigola en me prenant par le bras, alors que nous nous dirigions vers le parking ou était garé notre SUV « Oui, ça, pour être intéressés ils l’étaient, ils ne donnent pas que des cours, ils pensent aussi à s’amuser… ils organisent des sorties entre monos et emmènent quelquefois des clients pour parfaire les leçons, dans un chalet qui appartient aux parents d’un des jeunes... ça pourrait être sympa » elle me regardait en coin, avec un petit sourire, l’air rêveuse …
« Très sympa même, j’imagine qu’ils emmènent surtout des clientes, et qu’aucune ne s’est plainte », mon épouse éclata d’un rire complice « On ne peut rien te cacher » « Et ils sont combien lors de ces sorties ? »
« D’après eux ça varie, entre 3 et 7, il y a une dizaine de couchages dans le chalet, je comprendrais que tu sois réticent à l’idée de me laisser tout un week-end avec des jeunes, mais nous ...
... avons le temps pour prendre une décision les sorties ne débutent qu’en décembre »
Je souriais à mon tour nous étions alors dans notre 3008 « Tu penses qu’ils vont pouvoir attendre jusqu’à décembre ils semblaient très pressés de te faire progresser dans tous les domaines et cela sans ton mari » ajoutais-je, en faisant allusion à la conversation. Elle éclata de rire « idiot ! Si ça se trouve c’est moi qui ne pourrais pas attendre, mon mari ne s’occupe plus de moi comme quand il avait 25 ans »
Je la regardais dans les yeux en lui murmurant « A l’époque tu étais beaucoup moins... cokine... ça serait dommage d’attendre décembre pour commencer cette formation »
Elle éclata de rire en me disant « tu es vraiment un cochon, quand tu dis coquine j’entends salope, et vraiment dans ta bouche ça m’excite » et elle m’embrassa fougueusement…
Elle ne m’avait pas parlé du tract donné par le mono ou devait figurer son 06, je me doutais bien qu’à la première occasion elle prendrait contact avec lui pour mieux faire connaissance et cela m’excitait vraiment… Nous rentrâmes à la maison pour vaquer à nos occupations, retrouver nos enfants, préparer le repas. La journée passa doucement, j’étais bercé par des images assez salaces ou mon épouse jouait le rôle principal.
Ce ne fut que le soir, alors que nous nous apprêtions à nous coucher, que Sandrine relança la conversation sur le club de ski. « C’est sûr que c’est vraiment tentant cette sortie ski en week-end je n’arrête pas d’y penser ...