1. les monos


    Datte: 06/07/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Fab38300, Source: Hds

    En septembre nous nous sommes rendu dans un forum des associations de notre ville, mon épouse Sandrine ayant envie d'essayer d'autres sports que le pilate ou le step qu’elle pratique depuis quelques années. Un sport l’attirait plus particulièrement, le ski, le club local étant assez actif et proposant de nombreuses sorties les week-ends.
    
    Ce samedi de septembre était clément, Sandrine avait passée un top échancré et un délicieux petit jeans moulant, des bottines et un petit blouson de cuir rouge. Avec sa nouvelle coupe au carré elle était très belle, femme accomplie pour ses 39 ans, assez libérée depuis 5 ans (voir histoires précédentes), elle était très désirable. Je ne pouvais m’empêcher d’admirer son petit cul moulé dans le jeans en marchant à sa suite. Pour ma part je n’avais fait aucun effort vestimentaire. Nous nous rendîmes au stand du club de ski ou plusieurs monos discutaient avec des potentiels clients quand un jeune homme, assez cliché nous aborda. Blond, cheveux mi-longs, sportif, il n'avait pas trente ans, et me semblait assez prétentieux. Mon épouse lui expliqua ses attentes, les cours, les sorties, son niveau débutant et la possibilité de se libérer pendant les vacances scolaires, puisqu’elle même était prof. Le jeune la dévorait des yeux, ce qui m'amusait beaucoup, une petite étincelle s’était allumée en moi, je savais que cela devait aussi lui plaire. Sandrine confirma que les cours et les sorties seraient pour elle seule, "sans son mari" et cela amusa le ...
    ... mono. Il appela un autre mono, un jeune homme de son âge, brun, tout aussi dans le style « prof de gymn », en lui répétant et insistant lourdement sur le fait qu’elle voulait prendre des cours seule, sans son mari. Les deux jeunes déshabillaient des yeux mon épouse, comme si je n'existais plus, et celle-ci ne semblait pas du tout génée de cette situation. Ils lui affirmaient que des cours sur plusieurs jours étaient beaucoup plus bénéfiques, et qu'en plus les soirées aussi étaient sympas, qu’elle progresserai beaucoup dans tous les domaines, surtout "sans son mari", les allusions étaient à peine voilées. Je décidais de passer à un autre stand, laissant les deux jeunes en tête à tête avec mon épouse.
    
    A 20 mètres du stand, je me mêlais à la foule et lançais des regards à la dérobée dans leur direction. Mon départ ne les avait pas embêtés, s'en étaient-ils seulement aperçus?
    
    Sandrine continuait de rire, amusée par les monos qui devaient être beaucoup plus explicites sans la présence du mari ; à un moment Sandrine sembla s’apercevoir de mon absence, elle jeta un coup d’œil circulaire, sans me voir et repris sa discussion avec les jeunes. L’un d’eux, le blond, se pencha vers mon épouse et lui parla à l’oreille, mon épouse mi surprise, mi amusée lui répondit elle aussi à l’oreille en riant. Le blond griffonna sur un tract du club de ski, et tendit le papier à mon épouse, qui jeta une nouvelle fois un regard circulaire, et rangea rapidement le papier dans son sac. Elle salua ...
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