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Déchéance 3
Datte: 02/07/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Lipa94, Source: Hds
... me relevèrent sans ménagement, me plaquèrent sur le bureau, l’un d’eux se plaça devant moi et me saisit les bras en les maintenant fermement. En me relevant, j’eus le temps d’apercevoir que mon boss se faisait sucer par sa secrétaire à genoux devant lui jupe relevée. Il la repoussa violemment et se dirigea vers moi. • La truie va être punie d’être si facile, écartes les jambes et cambre-toi. Il accompagna cette phrase d’une claque cinglante sur mon cul. Je me mis en position me doutant bien de ce qui allait suivre. • Tu vas prendre 25 coups de badine et tu compteras et remercieras à chaque fois. Avais-je le choix ? Je commençais le décompte rythmé par les coups sur mes fesses, je commençais à sentir les larmes monter et je me tortillais sous les impacts. Il faut croire que le spectacle avait émoustillé mon bourreau, car aussitôt le dernier coup asséné, il me pénétra violemment et jouis assez rapidement répandant son sperme sur mon cul martyrisé. Il ordonna quelque chose à ses sbires, qui me relevèrent sans ménagement et me replacèrent à genoux au milieu de la pièce. Je ...
... tenais mon rôle car sans qu’on me le demande je mis les mains dans le dos et écartais les cuisses. Je fus entourée par les hommes qui se branlaient devant moi, certains plus audacieux forçaient ma bouche et je les pompais goulument. Inutile de préciser que je fus bientôt recouverte de leur semence, les cheveux, le visage, les seins, tout y est passé. Aussi invraisemblable que cela puisse paraitre j’eu alors un orgasme fulgurant qui me laissa pantelante et je m’écroulais en perdant à moitié connaissance. Lorsque je me réveillais, j’ignorais combien de temps c’était écoulé. J’étais allongée nue, recouverte d’un plaid, sur le canapé en cuir du bureau de mon patron. La pièce était déserte et la nuit était tombée. Quelqu’un avait pris soin de me laver car plus aucune trace de sperme sur mon corps ne subsistait. Et si ce n’était la douleur au niveau de mon cul, j’aurais pu croire que j’avais rêvé la scène. Au pied du canapé, je notais une tenue propre que je me pressais d’enfiler. Je sorti du bureau en titubant et regagnais ma voiture me demandant quelle serait la prochaine étape.