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Déchéance 3
Datte: 02/07/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Lipa94, Source: Hds
La suite de la journée se déroula sans encombre, il faut croire que mes chers collègues n’étaient pas si pervers que je le croyais. Ce soir-là en rentrant chez moi, je me fis couler un bain et laissais mon esprit vagabonder. Finalement si je me focalisais sur les aspects positifs, j’avais toujours un job, même si sa teneur n’avait plus rien à voir et si je doutais fort que les choses redeviennent comme avant, moi qui finalement avais peu consacré de temps à ma vie sexuelle j’avais découvert en moi des choses que je n’imaginais pas. N’allez pas croire que la situation me convenait mais au-delà de la honte j’avais éprouvé du plaisir dans ce genre de pratiques (d’ailleurs le plaisir venait aussi de la honte) et je n’avais plus besoin de me retrancher derrière le personnage de femme hautaine et méprisante qui me servait de carapace et pouvais me laisser aller en lâchant prise. Bien sûr je me demandais comment tout cela allait finir mais je décidais d’être philosophe et demain serait un autre jour. Ce deuxième matin, j’arrivais encore en avance au bureau n’ayant pas envie de croiser qui que ce soit dans l’ascenseur. Heureusement mon collègue un peu lourd était absent et je me senti soulagée. Sur le bureau je remarquais une enveloppe que j’ouvris les mains tremblantes. « Bonjour Truie ISA, j’espère que vous avez profité d’un repos réparateur car aujourd’hui j’ai décidé que vous alliez passer un cap. Tenez-vous prête à servir ce matin, ma secrétaire ...
... viendra vous chercher vers 10h, vous devrez suivre ses instructions. Bien sûr je vous rappelle que vous êtes libre de refuser mais vous en connaissez le prix. Signé Mr Li » Tu parles que je suis libre, je suis coincée, impossible de ne pas obéir, mais je gardais quand même le mot me disant que cela pourrait peut-être me servir un jour. En attendant j’avais deux heures à tuer et je me mis à faire du classement (j’évitais la machine à café n’ayant pas envie de me retrouver à genoux avec je ne sais quoi dans la bouche). On peut dire beaucoup de choses des japonais mais ils sont ponctuels, à 10h tapante la secrétaire du patron se présenta devant moi. Elle était assez grande (ce qui est rare pour une asiatique) entre deux âges, assez jolie avec de longs cheveux bruns, je remarquais qu’elle aussi portait la tenue de la parfaite « office lady » tailleur et jupe grise sur un chemisier immaculé et escarpins noirs. Elle me sourit et dans un français impeccable mâtiné d’accent japonais, elle m’ordonna de me mettre nue. Sa courtoisie n’était que de façade car elle haussa le ton trouvant que je n’étais pas assez rapide. Un fois nue, elle me fit mettre à genoux et me relevant la tête elle me mit un collier de chien autour du cou. Je me laissais faire docilement et je ne bronchais pas quand elle fixa une laisse sur la boucle du collier. Elle se recula un peu pour contempler le spectacle de cette grande blonde à genoux nue et soumise. Elle poussa un petit soupir de ...