1. Caroline


    Datte: 02/07/2025, Catégories: fh, fffh, extracon, groscul, vacances, pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... ça.
    — Pourquoi pas ?
    
    C’est une occasion de rappeler Annie Dalgaud et de prendre de ses nouvelles. Elle préfère venir me voir, nous prenons rendez-vous. Tiens ? Finis les uniformes sévères de la contrôleuse, c’est la tenue de directrice plutôt sexy.
    
    — Pas inintéressant votre truc. Cher ?
    — En ce moment c’est promotion ! 25 % du contrat précédent, la différence entre le pack « Protection » et le pack « Protection Plus ».
    — Probable que ça passera. Vous savez qu’on a récupéré des millions et que ce n’est pas fini grâce à votre protection. Alors, envisager la double peine, rappel d’impôt et ordinateur en vrac, c’est séduisant.
    — Et vous, très chère, comment allez-vous ?
    — Très bien, très très bien, même.
    — Ah, dites-moi ça…
    — On peut parler ? Pas de micros ? Eh bien… je crois que j’ai trouvé mon maître.
    — Bien…
    — Vous savez, le Directeur de cabinet du ministre. Terrible ! Quelle autorité ! En fait, je faisais quelques essais, pour voir, on ne sait jamais. J’étais donc dans le bureau du directeur d’exploitation, à genoux et la bouche bien pleine. Tout le monde frappe prudemment à sa porte avant d’entrer, il est très redouté. Tout le monde, sauf le directeur de cabinet. Il m’a envoyée dans son bureau immédiatement. Je m’attendais à une engueulade, un blâme, mais il m’a fait poser mes lunettes et m’a balancé un aller et retour, j’en ai vu trente-six chandelles. « Qu’est-ce que c’est que ça ? Vous n’avez pas honte ? Pas de ça dans les bureaux. Vous êtes chef de ...
    ... service, merde, et vous vous comportez comme une collégienne. Tiens, ce ne sont pas des baffes que vous méritez, mais une fessée… » Et là, je n’ai pas pu m’empêcher. En sanglots et à genoux, je lui ai dit : « oh oui, oui, une fessée, je la mérite… » Il a tout de suite compris et il est devenu mon maître. Il me traîne partout avec lui et il me fait faire des trucs ignobles, et j’adore ça.
    — Eh bien voilà, c’était l’homme de la situation. Je ne peux que vous souhaiter beaucoup de plaisir…
    — Sans rancune ?
    — Aucune.
    
    Deux-zéro. Janvier n’est pas mon mois. Je gardais quelque part le secret désir de me taper son gros postérieur de temps en temps, comme ça, en passant, pour le fun. C’est raté. Et ce n’est pas terminé. Parce que c’est la sale période des comptes financiers, des bilans, des déclarations, des emmerdements en somme. Et comme les règles changent sans cesse, on n’est jamais certain de ne rien avoir oublié. Je sais bien que le fisc devrait me laisser tranquille pour une dizaine d’années, mais… sait-on jamais. Il suffirait qu’un hacker surdoué fasse péter la protection de Bill et les ennuis pourraient revenir au galop. Du coup, impossible de me rendre en Normandie. De plus, les routes sont mauvaises, enneigées ou verglacées. Je me contente des photos et des textos de Caroline, heureusement qu’elle veille au grain. Les travaux semblent tout de même avancer d’après les photos des trois salles de bains avec carrelages et faïences. L’entrée et la cuisine sont également ...
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