La coloc
Datte: 01/07/2025,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Philus, Source: Hds
... Marion des deux mains. Ils s’embrassèrent passionnément, puis, à genoux, Mathieu s’avança vers la bouche pulpeuse pour y loger toute la longueur de son pénis. Marion ne put réprimer un réflexe nauséeux pour ensuite sucer le gland avec passion puis le délaissa. Antoine allait et venait doucement dans son vagin et Marion soupirait.
— Viens maintenant !
Mathieu enjamba son ami et se positionna derrière Marion. Antoine, bien placé et qui avait compris, écarta des deux mains les fesses de la jeune femme, dévoilant ainsi un rond plissé parfait dont le rose foncé tranchait avec le blanc de sa peau.
Mathieu apposa son gland contre l’anus et força le passage tout en agrippant les seins de leur maîtresse. Marion, légèrement redressée, émit une deuxième plainte, suivie de petits cris plaintifs quand Mathieu entama des mouvements de va-et-vient. Ce fut le feu vert pour Antoine qui, lui aussi, pénétra en cadence le doux conduit vaginal de Marion. Les deux hommes prirent un rythme identique, Marion perdait la tête et poussait des soupirs de bête. Elle ressentait les deux verges qui se télescopaient à travers la mince paroi de son rectum et de son vagin. Cette image produisit sur elle un effet prodigieux et soudain, tout son bassin se contracta. Vagin, rectum, périnée, fessiers, tout devint dur comme du bois et il s’ensuivit un formidable hurlement d’orgasme. Antoine et Mathieu sentirent leur queue fortement compressée, ce qui leur provoqua une abondante éjaculation dans leur ...
... conduit respectif. Tous deux expirèrent l’air de leurs poumons avec force. Marion se laissa retomber brusquement sur Antoine et faillit perdre le pénis de Mathieu planté au milieu de son sphincter. Après quelques instants, elle ôta de ses orifices les membres virils dont l’érection était devenue moindre et s’allongea à plat dos sur le lit en soupirant.
— Vous m’avez épuisée, mes amours. Mais j’en veux encore, vous m’avez trop fait jouir. Dans dix minutes on recommence, mais vous changez de côté !
La nuit fut longue et fatigante pour tous. Après avoir permuté ses partenaires, Marion voulut tester la levrette avec un homme derrière elle et un autre dans sa bouche en changeant de sens la fois suivante. Les périodes de repos intermédiaires s’allongèrent de plus en plus. Parfois même, Antoine ou Mathieu s’endormait, mais Marion paraissait intraitable et surtout infatigable. Elle dut jouir une dizaine de fois, les garçons beaucoup moins, car ils ne pouvaient tout simplement pas suivre son rythme. Au petit matin, les trois amants épuisés dormaient. Heureusement, ils n’avaient cours que l’après-midi.
*
Les mois succédèrent aux semaines jusqu’aux vacances de printemps. Quand les nouveaux amants sortaient, c’était à trois ou pas du tout. Que ce soit au cinéma, au théâtre ou dans un bar, Marion tenait ou caressait la main de ses deux amoureux simultanément. Dans la rue, elle donnait un bras à chacun des garçons, ou leur enlaçait la taille. Quelquefois, elle déposait un baiser sur ...