1. Souvenirs d'Égarements


    Datte: 30/06/2025, Catégories: fh, hh, jeunes, copains, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, fsodo, exercice, confession, Auteur: Marcfauwel, Source: Revebebe

    ... d’échanger des nouvelles avec ma famille. Mon petit frère de dix ans avait gagné quelques bons centimètres et ma sœur n’avait d’yeux que pour son téléphone portable, car à son grand désarroi, elle avait dû se séparer de son petit ami, dont la famille était partie en vacances à Porto Alegre, à l’extrême sud du pays. Vers 10h nous quittâmes la maison pour aller à la plage. En arrivant sur le sable, Melissa fut la première à se débarrasser de sa sortie de bain. Mon père, qui marchait avec moi quelques pas derrière les autres, ne put retenir un « Ouah ! Le chanceux ! » en regardant la petite amie de son fils aîné qui dévoilait sans vergogne un corps sublime. Et de fait, le petit triangle jaune de son maillot disparaissait entre ses magnifiques fesses de fille pour recouvrir, de l’autre côté, à peine l’essentiel à cacher aux inconnus. Lorsqu’elle m’appela pour aller dans l’eau, mon père, qui était dans la plus grande agitation, s’offrit de venir avec nous. Je le dissuadai en lui recommandant de se calmer pour éviter d’attirer l’attention. Ma sœur n’était pas contente ; rien n’échapperait à son œil de serpent. Mon père acquiesça en me disant que j’avais peut-être raison. Melissa et moi jouâmes dans les vagues pendant quelques minutes, puis nous allâmes nous sécher en marchant le long de la plage immense, en riant des manifestations d’admiration des petits groupes de jeunes hommes qui la suivaient du regard. Nous retournâmes enfin nous coucher sur le sable auprès de ma famille. ...
    ... Melissa s’installa sur le ventre e je restai assis à son côté. Mon petit frère jeta un regard amusé à mon père qui, l’air idiot, le menaça d’une paire de claques. Ma sœur me dévisagea d’un air faussement condescendant ; les filles se jalousent toujours. Quant à ma mère, elle me fit signe en secouant son index : « Respecte-la, hein, espèce de garnement ! », c’est ce que ça voulait dire. Ça y est, je pouvais tout de suite demander la main de Melissa que toute la famille applaudirait.
    
    Les jours se succédèrent à Salvador, éblouissants de soleil. Nous passions les après-midis avec ma famille, à nous promener au centre-ville, à connaître les « 365 églises », à manger les délicieux mets des bahianas (les femmes aux amples robes blanches coiffées d’un turban) et à regarder des gens aux corps incroyables lutter la capoeira. Le soir, nous mangions à la maison et plus tard, je partais avec Melissa à la recherche d’endroits destinés à la jeunesse. Nous voulions nous s’éclater un peu, danser, boire de la bière, éventuellement fumer un joint. Nous rentrions vers 2h du matin et nous mettions au lit pour baiser un coup avant de nous endormir jusqu’à 10h. Melissa m’avait d’emblée rassurée, donc je ne m’embarrassais pas de protections ou quoi que ce soit. Je me sentais homme et libre.
    
    Nous passâmes un mois et demi à Salvador et je restai encore trois jours à Friburgo avant de rentrer à Rio pour entamer ma 3e période (il y en a 10) à la faculté de génie civil. Lorsque fut arrivée la dernière ...
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