1. Souvenirs d'Égarements


    Datte: 30/06/2025, Catégories: fh, hh, jeunes, copains, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, fsodo, exercice, confession, Auteur: Marcfauwel, Source: Revebebe

    ... superficiellement mon besoin en me frottant contre lui, à la seule condition que je le masturbasse, ce que je fis. Mon orgasme ne tarda pas à s’annoncer, et d’une violence inouïe. J’eus à peine le temps de serrer fermement Didier par la ceinture, en l’entourant de mes deux bras, avant de projeter une rafale de jets copieux entre son dos et mon ventre. En même temps presque, je l’amenais manuellement à un orgasme très puissant que je parvins à diriger vers la porte du placard sous l’évier. Je le lâchai en plein vertige et m’appuyai contre le mur pendant qu’il essuyait avec du Scottex le sperme qui lui coulait entre les fesses. Je n’ai pas trouvé de mot à dire, car je me sentais fort embarrassé du fait qu’il n’avait jamais été convenu que nous fussions aussi loin. « Qu’est-ce qui t’a pris ? Tu voulais me baiser ? », demanda-t-il, intrigué et amusé à la fois. Ne sachant que répondre, je me limitai au geste classique d’ouvrir les bras en exposant mes paumes pour signifier un sincère « J’en sais rien ! » En hochant de la tête et souriant comme d’habitude, Didier retourna placidement à ses œufs brouillés. Quant à moi, je pris le beurre et la confiture dans le frigo et cinq minutes plus tard nous discutions autour d’un petit-déjeuner un petit peu moins frugal que celui de tous les jours.
    
    À la différence de ce que je pus constater pour Didier, cet épisode me fit réfléchir encore plus à l’évolution de ces rapports intimes dont le but initial n’était que de compenser nos manques ...
    ... jusqu’à ce que nous pussions reprendre notre vie d’avant. Désormais, il me semblait que nous étions à deux doigts du rapport sexuel consommé, et cela m’effrayait. De ma part au moins, la proximité d’un corps qui se laissât posséder complètement commençait à devenir un besoin pressant. Les sensations propres à l’acte consumé me manquaient terriblement. La femme se serre à l’homme, elle entoure son corps de ses jambes, elle lui offre ses seins et elle l’embrasse pendant qu’elle l’accueille en profondeur. Je ne me voyais pas demander à Didier qu’il se comportât en femme, mais le contact de mon corps contre le sien, ce jour-là, à la cuisine, évoqua en moi quelque chose que la seule masturbation était inapte à compenser. Mes rêves se sont donc surpeuplés de sexe, et à un point tel que je commençai à glisser des serviettes papier sous mon oreiller pour la nuit, lorsque je dormais dans le lit du haut et que je pouvais le regarder. La promiscuité de nos soirées de weekend ne me suffisait plus et cette cohabitation en mode nature ne faisait qu’aggraver mon mal, d’autant plus que Didier ne donnait aucun signe d’un quelconque souhait de renouveler ce qui s’était passé à la cuisine.
    
    La première année d’université s’écoulait rapidement. Si nos résultats aux examens de juin avaient été médiocres, nous nous étions arrangés pour n’échouer à aucune discipline et la probabilité était grande que nous réussissions tous les deux nos examens de novembre. Nous n’avions toujours pas d’amis et ...
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