Catherine réveille sa libido
Datte: 28/06/2025,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
extracon,
Collègues / Travail
Masturbation
caresses,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
confession,
totalsexe,
extraconj,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... honteuse de mon comportement de salope de bas étage, de femme mariée infidèle.
— Catherine, ce qui nous arrive est merveilleux, spontané, nous ne devons éprouver aucun regret ni aucune culpabilité. Je me suis laissé aller, vous aussi, gardons de ce moment de plaisir intense un souvenir inoubliable, quoi qu’il arrive. Voulez-vous que je vous raccompagne ?
Je n’attendais évidemment pas une déclaration d’amour de sa part, mais là je retrouvai le directeur, assez froid, peu expressif même s’il me tenait toujours serrée contre lui. Je ne savais pas comment réagir, le traiter de salaud, le gifler et partir en courant, ou attendre qu’il me propose de nous revoir. Dans le doute, je déclinai sa proposition de me raccompagner et rentrai seule chez moi, l’esprit perturbé et le corps encore marqué par le plaisir intense.
Le lendemain, je vins travailler normalement, lui aussi, et lorsque nous nous croisâmes, rien ne laissa paraître ce que nous avions vécu la veille. La semaine s’acheva sur le même mode indifférent, il avait repris son rôle de directeur. Mon mari ne remarqua rien de mon trouble lorsque nous fîmes l’amour de manière assez conventionnelle, loin de la passion incontrôlée qui m’avait fait sauter les interdits avec Denis.
Après une dizaine de jours, je reçus un courriel privé de Denis, me proposant un déjeuner avec lui. Je ne répondis pas tout de suite, ne voulant pas qu’il s’imagine que j’étais sa maîtresse, à disposition au gré des envies de Monsieur. ...
... Finalement, j’acceptai. C’est lui qui nota sur l’agenda commun un rendez-vous à l’extérieur, je n’avais donc pas à prévenir mes collègues de mon absence.
J’avais peu d’informations sur ce déjeuner « professionnel », si ce n’est qu’il aurait lieu dans la région des Monts du Lyonnais, vers Saint-André-La-Côte, et que nous irions en voiture. L’avant-veille, Denis me communiqua les détails du rendez-vous, lequel aurait lieu à la gare de Givors en fin de matinée. Pas de départ en commun de l’agence donc, mon amant d’un jour semblait vouloir cultiver la discrétion. La température demeurant estivale, je décidai de me vêtir de manière légère et confortable, mais sans avoir l’air d’une cougar partant chasser. J’optai pour un chemisier blanc cintré avec les épaules et les manches ajourés de dentelle, et une jupe plissée mi-longue sur une paire de sandales à talons plats. Question sous-vêtements, je choisis un soutien-gorge blanc en fine dentelle, avec le tanga-string assorti.
À l’heure dite, Denis m’attendait à la gare de Givors, où je montai dans sa luxueuse berline germanique. Il ne m’embrassa pas, me demanda seulement si j’allais bien et prit la route. Conversation aimable, mais sans aucune allusion au fait que je l’avais sucé comme une traînée dans son bureau jusqu’à le faire jouir dans ma bouche. Le restaurant était une ravissante auberge dans un cadre idyllique, avec vue au loin sur Lyon et les Alpes. Apéritif en terrasse, puis repas fin à l’intérieur, climatisé. Après le café, Denis ...