1. Catherine réveille sa libido


    Datte: 28/06/2025, Catégories: fh, hagé, fagée, extracon, Collègues / Travail Masturbation caresses, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, coprolalie, confession, totalsexe, extraconj, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    Cadre dans une grosse société immobilière lyonnaise, je menais une vie ordinaire. Quinquagénaire assumée, de taille moyenne, les cheveux bruns mi-longs, mon physique ne se distingue pas particulièrement et je ne fais rien pour qu’il en soit autrement. Les enfants sont partis vivre leur vie, j’habite un bel appartement sur les rives de la Saône, avec un mari attentionné malgré un emploi exigeant(il est responsable d’une entreprise de transport malmenée lors du Covid). Je n’avais à me plaindre de rien. Notre vie sexuelle me semblait équilibrée, même si j’aurais parfois souhaité de la part de Franck un peu plus de sollicitations en des moments et endroits variés. La ménopause ayant fait son œuvre, ma libido ne me préoccupait plus vraiment jusqu’à ce que Denis surgisse dans ma vie.
    
    Denis, c’est mon supérieur direct, nous nous connaissons et travaillons ensemble depuis quinze ans. Lui aussi quinquagénaire, gros bosseur, un physique agréable(mais ce n’est pas George Clooney… !) il est unanimement apprécié et respecté par ses employé·e·s. Jamais une remarque sexiste ni grivoise, toujours posé et poli même lors des entretiens houleux(lorsque l’on n’a pas atteint nos objectifs…), on ne saurait pas vraiment quoi lui reprocher, si ce n’est peut-être une sorte de distance ou de froideur, pas le genre à frayer avec ses subalternes. Marié, discret sur sa vie privée(divorcé, dit-on), bref, Denis n’avait jamais éveillé quoi que ce soit chez moi, et on ne se tutoie pas malgré nos quinze ...
    ... ans de collaboration.
    
    L’été passé, très chaud, avait rendu nos bureaux non climatisés insupportables, si bien que pour celles et ceux qui n’étaient pas dépendants de rendez-vous à l’agence, les horaires de travail furent laissés à la liberté de chacun, pour autant que le travail soit fait. Pour ma part, je venais tôt le matin(6h ou 6h30), je repartais vers 11 h pour ne revenir que vers 17 h et parfois jusqu’à 21 h voire 22 h, Franck étant souvent plusieurs jours d’affilée en déplacement dans les succursales de son entreprise, personne ne m’attendait à la maison. Denis, lui aussi, avait adopté un horaire assez similaire, car il ne pouvait pas travailler dans son bureau, aux grandes baies vitrées exposées plein sud.
    
    Il était environ 20 h 30 lorsque je me dirigeai vers la photocopieuse, me croyant seule dans les locaux déserts, lorsque j’entendis la voix de Denis. Il était au téléphone et parlait d’un ton sec, peu courant chez lui. J’entendis simplement :
    
    — Tu m’emmerdes, va te faire foutre !
    
    À peine eut-il raccroché(violemment) le téléphone qu’il jaillit furieux hors de son bureau en criant « mais quelle conne » ! Ne pouvant se douter de ma présence dans le corridor, il me bouscula brutalement, me faisant presque perdre l’équilibre ! Je me raccrochai à lui et il me retint par la taille pour m’éviter de m’étaler au milieu du couloir.
    
    — Catherine, oh, Catherine, excusez-moi, je ne savais pas que vous étiez encore là, je suis désolé. Je vous ai fait mal ? Pardonnez ma ...
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