1. Catherine réveille sa libido


    Datte: 28/06/2025, Catégories: fh, hagé, fagée, extracon, Collègues / Travail Masturbation caresses, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, coprolalie, confession, totalsexe, extraconj, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... désir, ses mains caressèrent mon ventre et glissèrent vers mes cuisses. Je n’osais plus bouger. Denis s’agenouilla sur l’épaisse moquette de son bureau et glissa deux mains sous ma robe, venant effleurer mes mollets, caresser l’arrière de mes cuisses, jusqu’à ce que, gêné par le tissu, il défasse lentement les boutons du bas de mon vêtement. Ses mains remontèrent alors vers mes fesses, qu’il caressa sensuellement du bout des doigts avant de saisir habilement les bords de mon shorty et de le faire glisser sur mes chevilles, me l’ôtant délicatement pour en humer, les yeux fermés, les saveurs féminines qui en émanaient. Je coulais de plus en plus, j’avais à la fois envie de jouir et de m’enfuir.
    
    Denis me fit reculer doucement jusqu’au bord de son bureau, contre lequel je m’appuyai. Toujours à mes genoux, mon directeur glissa sa tête sous ma robe et je frémis quand il se mit à lécher l’intérieur de mes cuisses, remontant lentement vers mon intimité liquéfiée de désir. Je sentais ma mouille ruisseler le long de mes jambes et j’avais honte, mais sa langue recueillait avec élégance ma liqueur d’amour qu’elle remonta boire à sa source. Il lécha mes grandes lèvres avec une lenteur insupportable tellement je voulais qu’il me fasse jouir, il écarta mes petites lèvres et s’insinua à l’entrée de mon vagin, lapant mes sucs intimes. Il n’avait pas dit un seul mot, c’est moi qui, au comble d’une excitation incontrôlable, me lâchai complètement par des mots crus que jamais je n’avais ...
    ... osé prononcer avec mon mari et lui glissai dans un soupir lourd de désir :
    
    — Encore, encore, bouffe-moi la chatte, lèche-moi, fais-moi jouir, baise-moi, je t’en supplie !
    
    Il rapprocha alors sa chaise du bureau et me fit y poser un pied, ma jambe à l’équerre lui permettant d’avoir un accès total à ma figue brûlante. Le tableau était d’un érotisme extrême, moi la quinquagénaire un peu BCBG, la robe en partie déboutonnée et les jambes écartées, ma culotte trempée à mes pieds, je me faisais lécher la moule par mon boss, en costard à mes genoux, scène digne d’un mauvais film porno.
    
    Une fois rassasiée de mon abondante mouille, Denis remonta ses lèvres vers mon bouton d’amour dont il se saisit délicatement, tantôt le pressant sous sa langue, tantôt le suçant, faisant monter en flèche un désir déjà exacerbé. Je commençai à gémir, perdant tout contrôle, mon cerveau envahi par une incroyable frénésie sexuelle, quand Denis introduisit deux doigts dans ma grotte ruisselante, caressant diaboliquement la paroi interne de mon vagin pendant que sa langue vibrait sur mon clitoris érigé. Ce fut un éclair, une explosion, une libération. Dans un feulement animal que je ne me connaissais pas, j’eus un orgasme d’une rare intensité, tous mes sens semblaient concentrés dans ma chatte dont un flot de cyprine jaillit soudainement, inondant le visage de mon amant. Si Denis ne m’avait pas retenue par les hanches, je crois que je serais tombée, mes jambes ne me portant plus.
    
    Denis lécha avec ...
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