Grande bringue
Datte: 28/06/2025,
Catégories:
fh,
ffh,
freresoeur,
Collègues / Travail
école,
bateau,
amour,
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... bord ?
— Comment tu la trouves, ma sœur, continue-t-elle en baissant la voix ?
— Vous êtes toutes les deux très belles, et toi, je t’aime.
— D’accord, mais est-ce qu’elle te fait envie, ma sœur, précise-t-elle en sortant son membre dressé du maillot ?
— Je n’ai même pas à me poser la question puisque je t’ai, toi.
— Arrête d’éluder mes propos et sois sincère : est-ce que tu aurais envie de baiser ma sœur si tu ne me connaissais pas, par exemple ?
— Euh… Certainement, je pense. Elle est aussi très… désirable.
— Bon, c’est ce que je voulais entendre. Dépêche-toi d’arrêter le bateau et viens nous rejoindre. Aujourd’hui, je t’offre ma sœur !
Jérôme a l’impression de prendre un direct au plexus. Le temps de reprendre ses esprits, Françoise est déjà redescendue, hèle Martine et toutes deux s’engouffrent dans la cabine. Une sueur soudaine lui perle au front. Il s’est engagé dans la passe sud, balisée, il avise une langue de sable qui s’étire sur un haut-fond entre deux îlots, il s’en approche, coupe les moteurs quand la profondeur est faible et jette l’ancre. Il est presque en colère en pénétrant dans la cabine, mais comment voulez-vous être en colère quand deux beautés vous attendent lascives et nues sur la grande couchette.
— Qu’est-ce que c’est que cette sombre histoire que vous avez manigancée ?
— Pas de sombre histoire, mon chéri, répond Françoise. Martine est amoureuse de toi, toi tu la trouves à ton goût, un jour ou l’autre vous auriez fini dans le même lit et ...
... tout le monde aurait été malheureux. Autant que les choses soient claires d’emblée. Je t’aime, j’aime ma sœur, suffisamment pour ne pas en être jalouse. Nous regarder l’a beaucoup excitée, je pense qu’il en sera de même pour moi en vous regardant.
— Et moi là-dedans, je n’ai pas mon mot à dire ?
— De quoi vas-tu te plaindre, tu en as deux pour le prix d’une.
— Mais les sentiments ? C’est de toi dont je suis amoureux…
— Je n’en doute pas un instant, sinon je n’aurais jamais pensé à ça. Mais je suis là, mon amour, je t’aime et je continue de t’aimer, encore plus peut-être. Je t’aide aussi, en t’embrassant, en t’excitant, en te guidant pour lui donner un maximum de plaisir. Allez, regarde-la, touche-la, déguste-la, je m’occupe de toi pendant ce temps.
Les cuisses sont ouvertes, offertes, la vulve gonflée et attirante, une main douce le branle et lui masse les couilles, Jérôme y fourre son groin et tête la liqueur acidulée de Martine qui se met à ronronner. Ce qui surprend le capitaine de cet étrange équipage, c’est la douceur de la peau. Celle de Françoise est déjà très douce, mais là, il croit se frotter à une peau de bébé. Autre surprise, l’attitude de sa maîtresse qui, d’habitude au langage si châtié, devient redoutablement égrillarde et semble s’exciter elle-même des énormités qu’elle prononce.
— Oui mon chéri, vas-y, bouffe-lui la chatte, mets-y les doigts, fais-la miauler cette petite salope…
Elle a une main glissée par-derrière entre ses cuisses, pétrissant ...