La mère de Jean (16)
Datte: 30/07/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... descendu vers un ombilic bien ourlé, et incrustait sa langue baveuse dans ce cratère qui donnait des frissons à la brune.
— Oh ! Adèle, comme j’ai longtemps espéré ce moment ! Personne ne sait mieux que vous, me donner un tel bonheur.
La femme ne répondit rien. Ses soupirs l’en empêchaient sans doute. Alors Julien continua son exploration, passant des seins à cette plage qui se trouvait lisse comme la peau d’un bébé. Ses doigts s’amusaient comme des fous sur d’autres lèvres, une autre bouche aussi très douce au toucher. Et seuls des gémissements sans visage lui revenaient.
Il se pencha davantage, laissant sa frimousse venir à la rencontre de cette main qui fouillait dans les affaires d’une autre. Alors Lucie ouvrit grand le compas, lui laissant le champ libre. Cette fois la langue naviguait en eau claire, se livrant à d’inédites arabesques sur la longueur d’une chatte délicieusement offerte. Et il tressauta aussi lorsque d’une menotte chaude, elle vint attraper la tringle qui ballottait entre les jambes masculines. Il se laissa entrainer par celle qu’il pensait être Adèle. Deux corps enchevêtrés étaient désormais sur la moquette.
Et une bouche tétait une bite tellement tendue d’envie que les lèvres de l’autre furent abandonnées, oubliées par la langue vicieuse. Julien aussi haletait sous la caresse tellement intime de sa rousse maitresse. Et s’il avait pu voir, s’apercevoir qu’en fait de rousse, la chevelure de la brune s’activait dans une pipe mémorable, ...
... aurait-il trouvé le courage nécessaire pour stopper là ces débordements ? Pas certaine de cela, Adèle qui suivait l’évolution depuis la porte du salon souriait de voir ce spectacle.
Julien allait jouir grâce à une bouche, des mains, une chatte qu’il croirait toujours être ceux de la rousse. Elle ne démentirait jamais et Lucie non plus ne la balancerait pas. Alors elle aussi jouissait de ces scènes pornographiques au possible. Toutes orchestrées par une mystificatrice de génie. Faire l’amour par personne interposée, un nouveau concept qu’Adèle trouvait plutôt sympathique. Et le couple sur son sol qui débutait une danse du ventre si précise qu’elle aussi en sentait des relents d’envies. Elle ne pouvait qu’admirer la dextérité de sa copine.
Lucie avait lentement, par des gestes simples et précis amené Julien à un état second. Il n’en pouvait plus. Il devait se retenir encore et encore, mais la rousse qui imaginait où se nichait la langue de sa copine en frémissait elle aussi de plaisir. Sans se toucher, elle sentait sa culotte qui récoltait la sueur de son sexe. Alors que la raie des fesses d’un Julien à genoux, face posée sur l’assise du fauteuil, recevait les hommages appuyés de la baveuse de Lucie. Lui laissait s’échapper de sa queue les premières gouttes de liquide séminal. Et la brune butinait toujours, dans une feuille de rose éblouissante, la fleur du mâle, pour lui tirer tout son miel.
À quel moment Adèle avait-elle senti ses jambes qui tremblaient ? Quand son ventre ...