1. L'Amour à rebours aux labours


    Datte: 27/06/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Briard, Source: Hds

    ... fera jamais rien.
    
    - C’est vrai que je me le demande aussi.
    
    - Il a peur, voilà la vérité. J’ai épousé un poltron, une chiffe molle, qui en plus de s’humilier tout seul, me ridiculise auprès de tous.
    
    - Ah là non, madame Gentil, voyez-vous, je ne suis pas d’accord avec vous.
    
    Elle releva la tête.
    
    - Que … quoi ?
    
    - Je dis que vous n’êtes en rien ridicule. Vous vous voulez le trouver le salaud qui nous a fait ça. Je vous ai vue à l’œuvre. Vous vous avez des tripes, si vous me permettez.
    
    Elle leva son regard vers lui.
    
    - Vous n’êtes pas comme lui, vous. Vous, vous êtes un homme, courageux, fort, qui n’a pas peur de grand-chose. Vous, vous affrontez l’adversité, vous ne la fuyez pas. Vous, vous êtes impétueux, intrépide et vous ne reculez devant rien.
    
    - J’ai toujours pris les problèmes à bras le corps.
    
    Elle le saisit aux épaules.
    
    - Vous êtes grand, fort, hardi et fier, c’est vous dont l’entreprise a besoin. Mon mari n’est qu’un poltron arrivé là grâce à papa et qui va pousser l’entreprise à la ruine.
    
    Il la saisit à son tour aux épaules.
    
    - N’ayez crainte, je ne le laisserai pas faire. Je vais vous dire le fond de ma pensée. Si les choses continuent ainsi, je ne donne pas deux mois au père Gentil pour éjecter son fils de son piédestal.
    
    - Je serai bien contente quand ça arrivera. Ça prouvera que j’avais vu à quel trouillard on a affaire. J’irai lui parler au Fernand, il m’écoutera. Je lui dirai, moi, qui il faut à la tête de l’entreprise. Il ...
    ... vous nommera et vous reprendrez la situation en main. Vous referez tous ce qu’il a défait. Vous prendrez sa place, vous y avez droit.
    
    Il approcha son visage du sien.
    
    - Vous aurez tout ce qu’il a eu …
    
    Il l’embrassa violemment et elle s’accrocha à son cou comme une noyée.
    
    Il la renversa et la souleva dans ses bras et la déposa sur le lit.
    
    Il défit les boutons de son corsage et le lui ôta.
    
    Elle était toujours accrochée à son cou.
    
    Il passa la main dans son dos et lui dégrafa son soutien-gorge.
    
    Il ouvrit son jean et le lui retira.
    
    Enfin, il lui retira sa culotte.
    
    Elle lui retira sa veste, déboutonna fébrilement sa chemise et la lui enleva.
    
    Elle apprécia ses larges épaules en les caressant des deux mains.
    
    Celles-ci descendirent et lui déboutonnèrent son pantalon.
    
    Elle le caressa à travers son caleçon et constata qu’il était déjà bien dur.
    
    Elle lui enleva son dernier vêtement puis se laissa retomber sur le matelas.
    
    Il lui caressa les seins, pinça les bouts ce qui la fit gémir.
    
    De la main droite il vint vérifier qu’elle était prête et il s’installa entre ses cuisses largement ouvertes.
    
    Il tâtonna un peu puis commença à la pénétrer la faisant gémir de nouveau.
    
    - Oui, viens.
    
    Il poussa et la pénétra entièrement.
    
    Il attendit quelques instants en la regardant droit dans les yeux. Elle lui sourit.
    
    - Vas-y, maintenant.
    
    Il commença ses vas et viens, lentement mais puissamment.
    
    Elle haleta sans discontinuer et, après quelques ...
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