1. Les deux veuves


    Datte: 24/06/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... de l'éjaculation. Elle tourna la tête vers lui, hagarde, bouche béante, jubilant au spectacle de ce corps athlétique qui l'honorait de sa queue et Françoise s'exclama :
    
    - Allez, jouissez ensemble, vous y êtes !
    
    Et ce fut l'orgasme conjoint, mouvementé, sonore, qui mit Julie à plat ventre sur le lit, écartelée, bavant dans le matelas, le rectum en surchauffe, gavée de sexe. L'homme retira prestement sa capote et lui offrit ses dernières giclées qui arrosèrent son sacrum et le haut de la raie des fesses, très écartées. Après avoir repris ses esprits, Julie se retourna, embrassa son baiseur sur la bouche, mais aussi Françoise dans un élan inattendu. Elle poussa un profond soupir et dit simplement :
    
    - Quel pied !
    
    Elle courut à la douche avec Françoise pour recevoir le jet bienfaisant qu'elles firent cascader mutuellement sur leur opulente poitrine avant de se couvrir d'une serviette de bain et de laisser la place au Guadeloupéen, dont elles admirèrent encore la démarche chaloupée et le corps parfait, aussitôt suivi de son compère, qui avait assisté lui aussi aux ébats, un peu en retrait. Lorsqu'ils furent partis, les deux femmes évoquèrent le moment qu'elles venaient de vivre.
    
    - Alors ? Cela t'a plu ? demanda Françoise, le sourire aux lèvres.
    
    - Tu parles. Cela s'est vu, non ?
    
    - Tu as pensé à ton mari ?
    
    - Euh... non pas vraiment. Honnêtement, j'ai pensé à moi. A mon plaisir.
    
    - Alors, c'est bien, et il va falloir continuer. Tu as un corps fait pour ...
    ... l'amour. Ne le laisse pas dépérir. Maintenant, tu es une femme qui baise.
    
    - Ah bon ?
    
    - Tu as fait du sexe sans amour, pour jouir de ton corps. Et tu as donné du plaisir à ces deux gars. Ils étaient ravis.
    
    Une discussion suivit entre les deux collègues sur le thème "faire l'amour" ou "baiser". Julie commençait à comprendre la nuance que Françoise lui avait expliquée. Elle faisait l'amour avec Gilles, elle avait baisé avec Célestin et Barnabé. Et le fait est que ça lui avait fait un bien fou, c'était la révélation de cet épisode érotique. Elle pensait toujours à son mari défunt mais elle pensait aussi à la bite des deux Guadeloupéens. Françoise lui indiqua cependant qu'il était plus prudent de ne pas les revoir tout de suite. Elle lui dit simplement :
    
    - Tu es belle et désirable, tu n'as qu'à lever le petit doigt pour baiser. Ecoute tes envies et fiche toi du reste.
    
    Il faut croire que cette transformation agit comme un signal d'alerte pour les hommes de son entourage ou même parfois à la terrasse d'un café. Son visage avait retrouvé son rayonnement. Son corps s'épanouissait dans des tenues mettant ses formes généreuses en valeur. Elle revenait vers les autres, à commencer par les hommes, connut quelques "coups d'un soir" permettant d'assouvir des pulsions de plus en plus fréquentes. Mais elle alla aussi vers certaines femmes qu'elle négligeait auparavant. Telle cette Muriel, collègue divorcée, aussi blonde que Julie était brune, quinquagénaire aux décolletés faramineux, ...
«12...5678»