Les deux veuves
Datte: 24/06/2025,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
Julie avait à peine quarante ans quand son mari décéda d'une tumeur au cerveau, la laissant seule avec ses deux enfants. Cette tragédie fut vécue comme un scandale non seulement pour elle-même mais aussi pour son entourage. Quel cruel destin pour cette belle brune en plein épanouissement professionnel dans une collectivité locale. Elle en fut tellement affectée qu'elle se replia sur elle-même, ignorant les regards masculins qui ne demandaient pas mieux qu'à la consoler, tant sa belle carnation, ses formes généreuses sans excès et son visage avenant avaient toujours suscité leur désir, bien qu'elle n'ait jamais tenté d'en profiter.
Il se trouva que peu de temps auparavant, une autre collègue, cette fois plus âgée et en fin de carrière, avait elle aussi perdu son mari à cause d'un cancer. Françoise était du genre boulotte, de petite taille, connue pour sa gouaille et sa liberté d'esprit, peu encline à jouer les grand-mères gâteau mais à profiter de la vie. Elle avait assumé vaillamment son veuvage, ne laissant rien paraitre du désarroi lié à sa solitude nouvelle.
Cette situation commune eut évidemment pour effet de rapprocher les deux femmes, qui se connaissaient sans se connaitre vraiment, étant de générations différentes. Françoise invita fréquemment Julie chez elle, autant pour échanger sur des questions pratiques liées à leur nouvel état que pour des considérations plus intimes. C'est ainsi qu'un jour d'été, Françoise annonça à Julie qu'elle bronzait fréquemment nue ...
... au bord de sa piscine, à l'abri des regards, et proposa à sa collègue d'en faire autant. Julie ne s'était guère lancée auparavant dans le bronzage intégral, étant plutôt adepte du bikini mais quand elle vit Françoise se dévêtir et exposer sans complexe son corps de sexagénaire aux rayons du soleil, elle se sentit idiote de ne pas l'imiter et dévoila à son tour sa peau mate, son pubis fourni de brune et ses deux beaux obus qui faisaient rêver l'entourage masculin de sa collectivité.
Françoise la complimenta en la trouvant "très belle" et une discussion s'engagea sur la nécessité ou pas de poursuivre une vie sexuelle pendant le veuvage.
La sexagénaire, sur le sujet, était catégorique :
- Ce n'est pas parce qu'on a perdu l'homme qu'on aime qu'il ne faut plus faire l'amour. Enfin, quand je dis faire l'amour, c'est plutôt baiser. Avec Albert, mon mari, le sexe était une drogue dure, jusqu'à ce qu'il soit malade. On était complètement sortie de la routine de la plupart des couples. On baisait vraiment. Est-ce que tu as recommencé à baiser ?
- Ben non. C'est encore trop récent, la perte de Gilles (son mari défunt). J'ai perdu l'envie. Je n'ai plus de vie sexuelle, ce que tu appelles "baiser".
- Je te comprends. Tu ne remplaceras jamais ton chéri. Moi non plus d'ailleurs. Mais il s'agit juste de tes hormones. Tu es trop jeune pour les laisser endormies. Il faut que ton corps exulte. Il le mérite et au fond, il n'attend que ça.
- Oui, bon, c'est vrai que parfois... ...