1. Les deux veuves


    Datte: 24/06/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... qu'elle jugeait trop large, trop charnue. Elle avait néanmoins revêtu un pantacourt qui la moulait comme une seconde peau, sans slip. Une première pour elle. Quant à Françoise, elle était encore plus sexuée avec une espèce de déshabillé à fines bretelles qui moulait ses obus bien visibles par transparence avec ses deux larges mamelons. Ses fesses vibraient à chaque pas, la raie évidente sous la toile légère. A poil sous le déshabillé...
    
    L'hôtesse comprit d'emblée que le choix de son amie se porterait sur l'homme plus âgé, prénommé Célestin. C'est pourquoi elle s'employa à mettre ses nichons sous le nez du rasta en le servant, si bien qu'il finit par s'y intéresser de plus près. Il glissa même une main entre ses cuisses dodues pour atteindre le sexe et ce fut le signal pour Françoise de gagner la chambre en tenant l'athlétique guadeloupéen par la main.
    
    Restée seule avec Célestin, Julie fut d'abord un peu embarrassée. Mais l'homme savait y faire et son approche fut lente et calculée. Il lui parla, la caressa, l'embrassa, lui prit la main pour la porter sur le devant de son pantalon afin qu'elle juge de son désir. Ce contact électrisa la brune, déjà bien échauffée. Elle était désormais bien engagée vers une relation sexuelle sans précédent. Il n'était plus possible de reculer. L'homme la conduisit vers la deuxième chambre, préalablement découverte dans la visite des lieux. La porte de la première pièce était restée ouverte et Julie découvrit Françoise sur le lit, ...
    ... évidemment nue, allongée sur le rasta en position inversée en train de pomper un dard plantureux tandis que la tête de l'autre disparaissait sous sa croupe opulente. Un 69. Depuis combien de temps n'avait-elle pas adopté ce préliminaire ?
    
    Célestin la poussa en travers du lit. Il tira sur le pantacourt, dévoilant deux cuisses charnues et un pubis brun et épais, non discipliné. Il y plongea le museau après s'être agenouillé au bord du lit et entreprit un patient et précis léchage en insistant sur le clitoris. Julie posa une main sur la nuque de son lécheur, signe d'adhésion à son exploration buccale. Elle sentait le plaisir l'envahir de plus en plus, remuait légèrement les hanches, et c'est en redressant la tête pour observer la tête crêpue en plein travail que son regard tomba sur le lit de l'autre chambre, visible dans l'encadrement des deux portes. A califourchon sur le rasta, Françoise faisait aller et venir sa croupe généreuse, totalement engagée sur la bite. Lorsqu'elle se mit brièvement sur ses pieds pour allonger la pénétration dans un bruit de peau claquée, Julie découvrit l'impressionnante colonne de chair du rasta sur laquelle Françoise s'empalait avec ferveur et cette vision, conjuguée avec son propre cunnilingus, la mit en arc de cercle pour un premier orgasme fulgurant. Célestin se releva, le visage brouillé de son jus avec le sourire de celui qui est fier d'avoir fait jouir. Sa pine horizontale, légèrement recourbée, d'une longueur inusitée pour Julie, appelait ...
«1...345...8»