L'ouvrière Soumise Fin
Datte: 23/06/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byGKCD, Source: Literotica
... jute devant mes jambes qui pendent dans le vide, il agrippe mes cuisses pour les relever bien haut ouvrant ma moule juste devant ses yeux.
Je sens immédiatement sa bouche se poser sur ma chatte, sa langue humide me pourfend la raie sur toute sa longueur pendant que l'autre a sortie sa queue en me la présentant devant le visage.
Sous cet angle sa bite est énorme, elle sent encore de m'avoir baisé les entrailles, cependant je ne peux pas m'empêcher d'ouvrir la bouche en grand pour l'engloutir.
Il m'agrippe les cheveux pour aider ma bouche à coulisser sur sa tige selon ses coups de reins pendant que Marcel me butine les muqueuses, lèche la peau sensible de ma fente, il me mordille le bouton pour le faire grossir.
Sous le coup d'une première vague de plaisir qui me tortille dans tous les sens, je tends mon bras vers mon homme comme pour m'assurer qu'il est encore là, ma main prend la sienne en la serrant fort pendant que je jouis sous la langue experte de Marcel.
Il ne réagit toujours pas, mais regarde la scène les yeux grand ouvert, est il consentant?
Peut être qu'il aime ça, me voir offerte à deux mâles en rut, moi en tout cas je m'éclate sous tous les angles suçant cette grosse tige qui m'a si bien ramoné et ondulant du cul sous le léchage de mon Marcel.
- Marcel, baise moi ? Je t'en prie ? Prend moi !
Il se tourne vers son Jean.
- Tu la veux encore?
- Je t'en prie, Marcel, faite toi plaisir.
Il n'a pas fini sa phrase que la bite de Marcel ...
... entre déjà dans mon puits d'amour.
- AAARRR ! Salope ! Tu es une trop bonne cette pute
Il accélère en me donnant de puissants coups de bite qui claquent contre mes fesses en libérant des flots de mouille à chaque pénétration, il doit me retenir par les reins car à chaque coup de bite mon corps avance sur la table.
Je tiens toujours la main de mon homme, pendant que Jean cadence les va et vient dans ma bouche sur les coups de bite que Marcel me prodigue.
HAN ! HAN ! HUM ! Ils gémissent en duo, redoublant d'efforts pour me défoncer chacun de leur côté, je ressens les pines entré et ressortir en cadence libérant des ondes de plaisir de plus en plus fortes.
- HO ! Jean, je vais l'enculer?
- Va y ! C'est une pure merveille
Ces deux salauds me considèrent comme leur objet sexuel, tout leur est maintenant permis, sans même demander ma permission, ni celle de mon mari qui semble toujours absent malgré son regard pointé sur nous.
Sans prévenir, Marcel m'embroche le cul jusqu'aux couilles avec un grand cri.
- HAAAFFFF ! Putain de salope, je t'encule encore !
Ce salaud vient de m'enculer, comme s'il ne l'a jamais fait, comme s'il vient enfin d'obtenir ce qu'il désire le plus au monde.
- Oui : RROOH ! Enculez moi ! Oui ! Plus fort ! OUIII ! Notre excitation à tous est tellement forte que nos corps se sont mis à trembler en cœur, nos cris de plaisir s'entremêlent en résonnant dans la pièce, mes hommes me liment de plus en plus vite, un dans ma gorge, l'autre ...