L'ouvrière Soumise Fin - Histoires de Sexe

L'ouvrière Soumise Fin

... c'est plutôt osé, mais c'est mon homme qui le veut ainsi.

Je mets enfin mes plus beaux escarpins en vernis noir qui viennent parfaire ma tenue de femme fatale.

Si ce n'est que moi, je n'oserai jamais me présenter devant d'autres hommes ainsi vêtus surtout en présence de mon mari, c'est une véritable invitation au crime, s'il désire qu'ils abusent de moi, il n'a pas fait mieux.

Je l'ai prévenu, je ne peux répondre de rien, tant pis pour lui.

Mon homme quant à lui, il a préparé les festivités, si je puis dire, traiteur pour le repas, champagne prévu de l'apéritif jusqu'au dessert et pourtant il sait qu'il me monte trop rapidement à la tête.

Il a prévu une table ronde pour le dîner, il m'a dit que cela sera plus convivial.

Il est presque l'heure lorsqu'il me demande :

- Tu es prête ma chérie? Vient me faire voir comment tu es belle.

Je le rejoins dans le salon en me déhanchant comme les mannequins lors d'un défilé.

- Waouh ! Quelle beauté, tu es vraiment appétissante, je ne sais pas si nous allons pouvoir nous retenir ce soir.

- Comment ça? Tu ne comptes pas faire de bêtises, chérie, rassure moi?

- Mais non mon amour, c'est juste pour te dire qu'ils n'auront d'yeux que pour toi, il ne peut pas en être autrement, mais rassure toi, je suis là, il vient m'embrasser affectueusement sur la joue.

Dring... Dring...

- A les festivités vont commencer.

Il me met une tape amicale sur la fesse et me dit :

- A toi de jouer ma belle, va leur ouvrir ...

... la porte.

C'est avec le cœur battant que je me dirige vers l'entrée, anxieuse et impatiente à la fois de revoir mes deux amants.

J'ouvre la porte, Marcel déclare de suite :

- Bonsoir, que tu es ravissante !

Repris immédiatement par son ami Jean.

- Tout ça en notre honneur, nous ne méritons pas tant de beauté

- Je vous en pris messieurs, veuillez entrer je vais vous présenter à mon époux.

Ils me laissent passer devant, ils en profitent pour me caresser les fesses au passage afin

Je rougis immédiatement comme une pivoine, la découverte de leurs mauvaises intentions confirme mes craintes et décuple mon excitation.

Marcel me chuchote à l'oreille :

- Je constate que tu ne portes pas de culotte, j'apprécie ce geste.

- Bonsoir messieurs.

Reprend mon mari qui se pointe au bout du couloir

- Bienvenus chez nous, c'est un réel plaisir que de vous rencontrer.

- Il en va de même pour nous, surtout avec une aussi jolie femme que la vôtre.

Marcel me regarde du coin de l'œil pour vérifier m'a gène. Ne voulant pas que cette discussion s'éternise au risque de toucher les points sensibles, je leur coupe la parole : - Vous êtes tous des charmeurs, mais passons au salon pour prendre un apéritif.

- C'est vous la reine de cette soirée, nous ne pouvons que vous obéir.

Là encore, ils laissent mon mari passer devant en direction du salon, ils en profitent pour me peloter outrageusement les fesses tout le long du couloir.

Rien que ces petits gestes ...