Adrien, l’amour fou – histoire complète (07)
Datte: 22/06/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Sylvainerotic, Source: Hds
... rapidement proche de toi. Et je lis cette même proximité dans tes yeux. Mon amour revient, presqu’aussi vite qu’il avait disparu. Mais non, il n’avait jamais disparu. Il était juste enfoui sous une masse de remords, de regrets et de culpabilité. Sans jamais mourir. La proximité grandit au cours de l’après-midi. Inconsciemment je me tiens plus près de toi. Jusqu’à pouvoir sentir à nouveau l’odeur de ta peau, et ton souffle. Ma main t’effleure. La tienne me touche.
N’ai-je jamais pu te résister ? Je crois bien que non en fait.
En fin d’après-midi. On se retrouve donc chez moi, pour aussitôt se dévorer mutuellement les lèvres.
- Tu m’as tellement manqué… j’ai pensé à toi tous les jours. Tu me rends fou…- Toi aussi Matthieu… je t’aime… oh, je t’aime…
Nos lèvres et nos langues ne se quittent pas pendant d’interminables minutes. J’ai besoin de regoutter ta salive, de te boire, de reposséder ta bouche, de lui faire l’amour.
J’enlève ton t-shirt et redécouvre avec bonheur ton torse imberbe, tes tout petits tétons. Je ne peux m’empêcher d’embrasser, de caresser, de lécher. Je te serre. Une main dans ton dos, l’autre qui caresse ta nuque, tandis que ma langue est à nouveau dans ta bouche, caressante, aimante. La bosse sous ton jean est énorme, et butte contre la mienne. Ma langue descend dans ton cou, puis je baise tes épaules. Mes mains commencent à glisser dans ton pantalon, le long des fesses et de la raie.
C’est si bon, mon dieu, de sentir ta peau, son grain, ...
... son odeur. Rien n’a changé. Tu es le même mon chéri, mon amour. Je te veux encore plus. Je te sens caresser mon paquet. Ma queue, puis mes couilles.
Mes mains, elles, vont plus loin, à l’intérieur de ton boxer, déjà bien mouillé. Je te déboutonne et fait tomber le jean et le boxer sur tes chevilles. Ta queue jaillit comme un diable de sa boite, faisant tomber les gouttes de sperme qui perlaient au bout du gland. Ce gland sur lequel je pose mes lèvres, l’embrasse. Avant de faire glisser ta belle bite tout au fond de ma gorge. Tu jures, de plaisir, tu gémis, tu trembles.
Ce n’est pas que du sexe… ce sont des retrouvailles. Physiques, psychologiques. Deux corps qui se connaissaient et se retrouvent. Qui se souviennent du plaisir et le redécouvrent. Je te suce avec passion, et je te regarde. Je veux te voir, prendre du plaisir. Je t’observe ouvrir la bouche. Te caresser, de passer les mains sur le torse et les seins, contre tes fesses, puis dans mes cheveux. Tu prends ma tête entre les mains pour mieux me baiser la bouche, mais en douceur. Mes mains, elles, caressent des petites couilles et tes fesses.
Je me redresse. On va vers la chambre et je me déshabille en chemin. Tu avances tant bien que mal, tout nu, à l’exception de ton jean baissé sur les chevilles. J’aime te voir trottiner comme ça, la queue à l’air. Le jean, le boxer, les chaussettes et les Converse sont retirés rapidement et nous sommes nus dans les bras l’un de l’autre. Je retrouve ton corps chaud contre le ...