1. dressage 2


    Datte: 21/06/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: c-levis, Source: Hds

    ... (ces choses ô combien féminines) dont l’attache me posa de gros problèmes et une perte de temps incalculable. Je crus ne pas y parvenir. Mais le pire restait à venir. Je pris la délicieuse petite culotte blanche qui m’était destinée et la déliai pour la passer. Ce n’est qu’à cet instant que je découvris qu’elle n’était pas aussi blanche que je le pensais. En fait, elle avait été portée auparavant par une femme (qui ?) et de toute évidence plusieurs jours de suite. La couleur du fonds et surtout l’odeur abominable qui s’en dégageait ne laissait aucun doute. Comment pouvait-on me faire subir une telle humiliation ?
    
    - Douze minutes.
    
    Je surmontais mon horreur et doucement enfilait le délicat tissu. Mon dégoût s’intensifia encore lorsque la culotte entra en contact avec mes fesses. Maintenant, il fallait ouvrir la porte et me présenter devant une personne inconnue, de sexe féminin, et qui, bien entendu, n’allait pas se gêner pour se moquer de moi. Comment pourrais-je supporter le regard et les ricanements de cette jeune fille ? Je cherchais encore désespéramment une issue à cette horrible situation. N’y avait-il vraiment aucun autre vêtement autour de moi ? Non, bien sûr.
    
    Un miracle peut être ? Non, bien sûr, pas de miracle. Tandis que la douce voix disait « quinze minutes », j’ouvris tout doucement la porte et pénétrais dans la pièce où se trouvait ma tortionnaire. Son rire me glaça d’effroi.
    
    - Comme tu es belle, ma chérie. Comme tu es séduisante, sexy.
    
    Elle riait ...
    ... et riait encore, me traitant encore de pucelle, entre autre. Je ressentais la plus grande honte de ma vie. Elle me fit marcher dans la pièce. Je devais faire comme si j’étais un mannequin en train de défiler. Puis elle me fit pencher en avant et me caressa doucement les fesses, comme je savais si bien le faire aux femmes, sauf que là, j’étais la femme et que cette caresse m’horrifiait au plus haut point. La Maîtresse assistante s’aperçut que j’avais pris soin de ne pas remonter complètement la culotte pour que les salissures du fonds ne soient pas trop en contact avec mon cul.
    
    - Tu as peur d’attraper des maladies, on dirait. Pourtant il paraît que tu as, dans le passé, reniflé et même léché des culottes aussi sales que celle ci.
    
    Et sans que je ne puisse intervenir, elle me la remonta très haut et m’enfonça bien le fonds dans ma raie. Je sentais parfaitement les immondes salissures au contact de mon intimité. C’était affreux.
    
    Ensuite, elle me fit faire quelques exercices de flexion pour, me dit-elle, que je ressente encore mieux les choses. Il est vrai qu’outre les sensations tactiles, s’ajoutaient les sensations olfactives. L’odeur de l’immonde culotte remontait jusqu’à mes narines à chaque fois que je m’accroupissais. Elle me fit encore accroupir.
    
    - Ecarte bien les jambes, je veux voir ta petite culotte. Ca ne te gène pas, n’est ce pas ?
    
    Si. Cela me gênait énormément. Moi qui avais toujours pris un malin plaisir à découvrir à leur insu les petites culottes des ...
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