dressage 2
Datte: 21/06/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: c-levis, Source: Hds
DRESSAGE. 2ème séance
Ma femme, très satisfaite de la première séance où la Maîtresse m’obligea à faire le petit chien, décida de m’envoyer parfaire mon éducation lors d’une deuxième séance, plus chere certes, mais beaucoup plus hard, pour mon grand malheur. La Maîtresse se montra effectivement beaucoup plus sadique que lors de première séance. L’humiliation fut terrible pour moi.
Lorsque j’arrivais à ce fameux rendez vous obligatoire, je fus reçu par une jeune (et très jolie) jeune femme que je ne connaissais pas, vêtue très sexy (jupe courte, chemisier échancré, bas, talons,…). Elle m’expliqua que notre Maîtresse serait un peu en retard et qu’en l’attendant, elle était chargée de me préparer :
-Va dans la pièce d’à côté et enfile tous les vêtements, et j’ai bien dit tous sans exception, qui ont été préparés pour toi. Tu as deux minutes pour revenir totalement changé. Chaque minute de retard équivaudra à une fessée que t’administrera la Maîtresse.
Après la première séance, j’étais décidé à prendre les choses à la légère. Faire le petit chien ou le cheval, être contraint de faire des toilettes intimes à des femmes inconnues, même très très sales, certes cela me gênait énormément, mais j’étais bien décidé à ne pas laisser paraître mon embarras. Non vraiment, rien ne pourrait plus m’atteindre désormais et j’étais bien décidé à prendre les choses à la légère et à m’amuser. C’est donc l’esprit tranquille que je me rendis dans la pièce voisine, décidé à me changer ...
... très rapidement.
Mais ô surprise, les seuls vêtements que je découvris étaient des vêtements féminins. Je les examinai, incrédule. Je cherchais tout autour de moi s’il n’y avait rien d’autre. Mais non. Il n’y avait que cela. Le temps passait vite. Que faire ? Je commençais à paniquer. Mes engagements de tout à l’heure étaient en train de s’envoler. Enfiler des vêtements de femme ? Non, je ne pouvais pas. J’examinais en tremblant les jolies choses que la Maîtresse m’avait préparées si sadiquement. Une petite robe légère, une jolie culotte blanche, des bas et des portes jarretelles. Quelle honte. Moi si masculin, si macho, m’obliger à enfiler ces petites choses si féminines. Je ne pouvais pas.
- Déjà quatre minutes de passées, dit une petite voix dans la pièce d’à côté.
Mon esprit cherchait désespérément une solution à cette situation catastrophique. Chaque minute allongeait ma punition, mais je ne pouvais me résoudre à obéir à ces ordres immondes. Je tremblais de la tête aux pieds. Et si elle me prenait en photos dans cette tenue ? Quelle horreur. Si mes amis me voyaient un jour dans cette tenue ridicule.
- Huit minutes.
Je n’avais pas le choix ; je devais obéir. Je me dévêtis lentement et enfilais encore plus lentement et maladroitement les douces affaires qui m’étaient réservées. Après avoir mis le porte jarretelle, je passais la robe. La sensation étrange du tissu flottant légèrement sur mon corps me troubla. Il me fut particulièrement pénible d’enfiler les bas ...