1. Faites des enfants… !


    Datte: 20/06/2025, Catégories: fh, hplusag, alliance, amour, entreseins, Oral pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... débardeur et mini-short, sans gêne, comme on fait chez soi. Je n’y voyais aucun inconvénient et ça ne posait aucun problème, sauf que je ne pouvais pas ne pas remarquer les pointes de ses seins libres sous les cotonnades, ni admirer la rotondité de sa croupe assez généreuse mais sans excès, bien ferme et pommée, soulignant une taille bien prise et portée par des cuisses musclées, charnues, fuselées à souhait. Ce n’était pas une beauté de magazine, tant s’en faut, mais une charmante jeune femme très naturelle et fraîche. Tout ce qu’il fallait pour me troubler et provoquer de sporadiques érections que je pensais oubliées depuis longtemps. Même si j’avais perdu quelques éjaculations dans les orifices accueillants de ma secrétaire générale, du temps où j’étais encore en fonctions…
    
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    Donc depuis Élise, « popaul » est en berne. Heureusement qu’à cinquante-sept ans les hormones me travaillent moins qu’à vingt, mais tout de même. Et d’avoir cette petite nénette sous le nez en permanence, ça réveille quelques désirs, au point que je finis par trouver ses petits défauts très érotiques. Ses chevilles épaisses par exemple, ses jambes un peu trop courtes quand elle est pieds nus, son cul et ses seins un peu trop généreux. Tout ceci m’amène à penser que ce doit être une furieuse au plumard. Chut ! Belle-fille, pas toucher ! On peut toujours penser… Le jour de la fête des Pères, donc, pas un message, pas un courrier, pas un appel de mon « cher » ...
    ... fils. Je ne lui en veux guère, ayant toujours considéré ces fêtes comme des opérations purement commerciales. Mais c’était sans compter avec Isabelle qui, ce jour-là, met les petits plats dans les grands, me prépare dès bon matin mon menu préféré et ne me laisse que choisir le vin. Rouge de plaisir, elle m’offre un cadeau.
    
    — De la part de Jean-Philippe… et moi.
    — C’est vrai ce mensonge ?
    — Enfin… moi surtout. Mais lui, il est un peu fâché avec les dates…
    
    C’est une bouteille de grand Armagnac, une « vieille sans âge », un nectar rare et coûteux. En plus, j’adore ça. Je la remercie chaleureusement par une quadruple accolade, durant laquelle elle se colle à moi comme une affiche sur un panneau électoral, me troublant jusque dans le pantalon. Je vais nous chercher une bouteille de champagne, je sais qu’elle aime ça, et un vieux bourgogne de quinze ans. Nous avons donc déjà bien bu avant même de goûter à ce sublime flacon, au salon après le café. Un peu cuite la fille, elle se vautre sur mon épaule et s’endort. Je tends le bras au maximum pour me servir un second petit verre en évitant de bouger pour respecter son sommeil. Quand je suis totalement ankylosé et douloureux à en crier, je me dégage, la prends par les épaules pour la basculer doucement sur le canapé. Puis je lui pose ses chaussures et soulève ses jambes jusque sur le siège pour qu’elle soit bien. Sa jupette serrée s’est considérablement tire-bouchonnée, m’offrant une petite culotte en exposition, un joli string ...
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