1. Choisir entre mari et amante


    Datte: 20/06/2025, Catégories: fh, ff, fplusag, couple, extracon, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, caresses, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, extraconj, lesbos, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... boulot. Tu pars en week-end, ma chérie.
    — Mais…comment ça ? Tu veux dire que je pars… avec toi ? Enfin… toutes les deux, quoi ?
    — Comme tu comprends vite, ma beauté, c’est un plaisir de t’expliquer les choses… !
    — Oh ça va… me fais pas plus conne que je suis quand même… bougonna-t-elle
    
    Catherine l’entoura de ses bras, la couva du regard et timide comme une petite fille qui va dormir chez la voisine lui demanda :
    
    — Alors tu es d’accord de passer deux jours avec moi ? C’est vrai, Cathy ? Tu me le promets ?
    — Oui, Marie, je te le jure, éclata-t-elle de son rire le plus sincère.
    — Je t’adore ma beauté… ! Je passerai te chercher au confessionnal vers 18 h. À bientôt !
    
    De retour dans son bureau, Catherine se demanda si elle ne jouait pas avec le feu. Inviter son amante chez elle, c’était faire entrer le loup dans la bergerie. Tromper son mari, même avec une femme, sous son propre toit était de la folie pure. Et si Franck rentrait plus tôt que prévu ? Et si une de ses filles débarquait à l’improviste ?
    
    Le vendredi, cependant, Catherine se plongea dans son boulot pour oublier l’attente. Elle fut d’une redoutable efficacité, boucla plusieurs dossiers importants, signa un très gros contrat de vente et prépara le planning de la semaine suivante. En milieu d’après-midi, elle reçut un message de Franck disant que ses copains et lui étaient bien arrivés à Manchester après dix heures de route sous la flotte, elle en fut rassurée à double titre.
    
    À 18 h pile, Catherine ...
    ... frappait à la porte du « confessionnal », le cœur battant, cherchant à garder son calme et à ne pas trop extérioriser sa joie, sous peine de passer pour une midinette aux yeux de l’enjôleuse expérimentée qu’était Cathy. Pourtant, quand la porte s’ouvrit, elle eut sûrement l’air d’une fillette découvrant le père Noël, et ne put articuler un mot.
    
    Les cheveux coupés plus court style pixie, maquillée avec soin, portant boucles d’oreilles et rouge à lèvres, Cathy était éblouissante. Vêtue d’une robe fourreau à motifs floraux épousant de près ses affolantes courbes, d’un petit blouson cintré à gros boutons dorés et les pieds chaussés d’escarpins rouge vif, son amante lui parut tout d’un coup inaccessible,« trop belle pour toi », pensa Catherine, incapable de bouger.
    
    — Bonsoir, Marie, tu vois, je me suis faite belle pour toi. Je te plais ?
    — Cathy… tu… je n’ai pas de mots… tu es… tu…
    — Ça doit vouloir dire oui… Tu m’emmènes où,darling ?
    — Tu verras bien. Suis-moi, princesse.
    
    Catherine se montra empressée comme auprès d’un Chef d’État. Elle ouvrit la porte du « carrosse avancé pour Madame Sa*** » à son amante, s’enquit de la température à l’intérieur de l’habitacle, lui proposa de la musique. Si « Marie » nageait dans un indicible bonheur, Catherine était tendue. Comment Cathy allait-elle réagir en découvrant qu’elle l’amenait chez elle ? Allait-elle s’emporter et exiger d’être raccompagnée ? Trop tard pour y penser, la voiture ralentit à l’entrée du parking souterrain dont ...
«12...678...14»