1. Choisir entre mari et amante


    Datte: 20/06/2025, Catégories: fh, ff, fplusag, couple, extracon, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, caresses, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, extraconj, lesbos, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... ressentit une anxiété profonde et un fort sentiment de culpabilité. Comment, sur fond de mensonge, aimer en même temps un mari et une maîtresse, chacun connaissant ou presque l’existence de l’autre ? C’était cette folie insensée qu’il lui fallait désormais maîtriser, pour autant que cela soit possible.
    
    Le dimanche matin, prenant les devants, c’est elle qui fit fougueusement l’amour à son mari, lequel ne posa pas de questions, trop pris par son plaisir. Toutefois, le chevauchant lors de l’assaut final, elle sentit un doigt titiller avec insistance l’entrée de son étroit pertuis.
    
    — Mon amour, par-là, c’est moi qui décide, et ce matin c’est non, j’ai encore un peu mal d’hier… Fais-moi jouir maintenant… lui glissa-t-elle au creux de l’oreille.
    
    Les deux premiers jours de la semaine furent éprouvants pour Catherine. Même si la température avait retrouvé des valeurs de saison, les dossiers s’accumulaient, car le télétravail ne permettait pas de tout traiter. Elle enchaîna les heures au bureau, et ce n’est que le mercredi qu’elle trouva le temps d’aller prendre des nouvelles de son amante. Catherine se glissa discrètement dans la cafeteria une ou deux minutes avant la fermeture et s’installa dans une zone où la lumière était déjà éteinte. Cathy surgit derrière le bar, les bras chargés de plateaux qu’elle posa sur le comptoir pour en ranger le contenu, sous le regard caché, mais admiratif de son « élève ». La belle avait relevé ses cheveux en un chignon sauvage dégageant sa ...
    ... nuque gracile, sur laquelle Catherine rêvait déjà de poser ses lèvres.
    
    — Tu m’as manqué, mon amour, viens m’embrasser s’il te plaît
    
    Cathy sursauta et scruta la pièce pour y découvrir la source de ces mots, vers laquelle elle courut presque.
    
    — Marie, tu es là… je m’inquiétais, je savais pas si tu m’en voulais de t’avoir plantée comme ça à la gare… mais… tu comprends… pour moi c’est nouveau… enfin je veux dire…
    
    Catherine la prit dans ses bras et la serra de toutes ses forces avant de chercher ses lèvres.
    
    — Viens Marie, je rangerai plus tard.
    
    Elles se retrouvèrent dans le bureau de leurs étreintes passionnées. Catherine s’assit sagement dans le canapé, peinant à contenir son bonheur en pensant à ce qu’elle allait proposer à sa séduisante maîtresse.
    
    — Cathy, ma chérie, est-ce que tu as des projets pour ce week-end ?
    — Pas vraiment, mais samedi je pense aller à l’assemblée départementale des cafetiers-limonadiers pour y découvrir le nouveau programme syndical.
    — Ah, tu es obligée d’y aller ? C’est le syndicat qui te l’impose ?
    — Non non, aucune obligation. Tu veux venir ? Tu t’intéresses au syndicat maintenant ?(lui caressant la joue…) C’est marrant, je t’imagine mieux à l’assemblée de ta paroisse, Marie !
    — Arrête de te moquer de moi ! Alors si ta grand-messe des tracts et des mégaphones peut se dérouler sans la plus ravissante de ses ouailles, jeudi soir tu prépares de quoi vivre deux jours loin de chez toi et tu viens avec ta valise vendredi matin au ...
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