Choisir entre mari et amante
Datte: 20/06/2025,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
couple,
extracon,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
caresses,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
extraconj,
lesbos,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... carte : « Si tu as peur d’avoir froid, nous sommes là pour protéger ton corps de déesse… ».
Cathy se doucha, se dévêtit et se fit princesse en déshabillant ses formes sous la dentelle de soie, puis se glissa entre les draps à la douceur sensuelle.
Catherine la rejoignit, se doucha elle aussi et se drapa dans un déshabillé des plus suggestifs puis se glissa tout contre son affolante maîtresse. La porte de la chambre se referma.
Seul le grand lit, acteur passif, mais complice ravi, saurait raconter les élans de tendresse, l’érotisme à fleur de peau, les cris de plaisir et mille autres bonheurs auxquels il assista cette nuit-là, mais il enveloppa ces moments de la discrète pudeur que l’on doit à l’amour.
C’est Catherine qui s’éveilla la première. La chambre baignait dans un délicat clair-obscur, magnifiant le tableau vivant qu’elle exposait au regard énamouré de l’âme du lieu. Elle aurait voulu être peintre, ou photographe, pour immortaliser la vision enchanteresse de ce petit matin. Cathy dormait, étendue sur le dos, un bras replié derrière la tête. La pâleur du drap qui la déshabillait élégamment contrastait avec sa peau dorée, un rai de soleil indiscret, parvenu à se glisser entre quelque interstice des volets, caressait sa poitrine de statue grecque, qui se soulevait au rythme du souffle paisible de la belle alanguie. Catherine dut se retenir de ne pas congédier Morphée sur-le-champ pour faire l’amour à la beauté ainsi éclairée. Prenant bien soin de ne faire ...
... aucun bruit, elle se leva pour aller préparer le petit-déjeuner.
Ce sont les fragrances de café et de pain frais qui firent émerger Cathy de sa torpeur. En ouvrant les yeux, elle ne comprit pas tout de suite où elle était, mais la caresse des draps sur son corps nu raviva instantanément ses sens encore émerveillés de la nuit d’amour qui s’achevait, à nulle autre pareille dans ses souvenirs. Marie lui avait fait l’amour avec une infinie délicatesse, une sensualité de gestes qui l’avait fait frissonner de désir, lui avait murmuré dans la pénombre des mots magnifiques, l’avait conduite à maintes reprises au plaisir le plus intense sans jamais la brusquer, l’avait caressée amoureusement de ses mains, de ses lèvres, l’avait serrée dans ses bras jusqu’à ce qu’elle s’endorme, les sens apaisés, car repus de bonheur, proche du Nirvana.
Cathy se leva, revêtit le peignoir préparé pour elle par son amante et suivit les effluves délicats jusqu’à la cuisine. À peine y eut-elle posé le pied que Catherine se précipita vers elle et l’enlaça, sa bouche au creux de l’épaule et la main caressant la chevelure ébouriffée.
— Ah, mon amour, tu es magnifique, je t’aime, Cathy, tu es une femme merveilleuse, serre-moi dans tes bras, fort… !
— Marie, tu m’as fait l’amour toute la nuit, c’était grandiose ! D’habitude c’est moi qui impose, mais cette nuit tu as su me faire découvrir autre chose, j’ai adoré sentir ton corps entier brûlant plaqué contre le mien, tes massages à la fois doux et ...